En vu de les graves pics de pollutions à Paris et le coût
à payer, environ 100 milliard d’euros par an plus la souffrance humaine, il
est évidant qu’il faut faire quelque chose. Dans la courte perspective il n’a
pas d’autre solution que d’effectuer quelques soulagements avec des
restrictions.
Dans la longe perspective la situation est un autre. Car,
les moteurs thermiques, qui nous ont servi pendant plus de 100 ans, sont en
train de devenir obsolètes. Les deux candidates remplaçants sont la voiture aux
batteries et la voiture aux piles combustibles. Ni l’un ni l’autre polluent
l’environnant proche et de la recherche pour les améliorer est intense.
L’autonomie limitée des voitures électriques est leur plus
grand désavantage. Cependant, le potentielle d’améliorer les batteries est
théocratiquement un facteur 10. Si on arrive à un facteur 4 dans quelques années
il sera déjà très bien.
Pour les voitures aux piles combustibles c’est le prix qui
freine. Le carburant est hydrogène qui l’oxygène dans l’air forme de l’eau.
Mia, pour stimuler la réaction il faut un catalyseur, actuellement faite par le
très cher platina. De la recherche pour alternatives est depuis longtemps en
cours et maintenant il semble que une
percée a été fait.
Le nouveau catalyseur
est composé de molécules appelées
nitrosyles et d'oxydes d'azote. Un de ces moléculaires réagit bien avec l'électrode et l'autre efficacement avec
l'oxygène. Pour la première fois il a donc été montré qu’il est possible
de remplacer le très cher platina.
La compétition pour le principe de traction des futures voitures est intense. Il est dommage
que les médias s’intéressent si peu pour cette dramaturgie.
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