C’était en Février 2013,
le corps spatial est venu comme un coup de foudre, a
explosé avec une un énorme coup
qui a brisé tant de vitres et une partie s’est évincé dans un lac prêt de la
ville de Chelyabinsk en Russie. S’il aurait venu seulement 100
secondes plus tard - le temps qu'il faut pour que la Terre tourne 3000 km vers l'ouest
- elle aurait au lieu frappé la ville de Malmö, Suède.
Plus de 1000 personnes ont été blessées lorsque ce roche, de 20 mètres et de 9000 tonnes, a explosé. L'énergie déclenchée correspondait à 500 kilotonnes de TNT, 30 fois la puissance de la bombe atomique sur Hiroshima. Certains scientifiques estiment qu’un impact de cette ampleur se produit en moyenne 1 fois tous les 20 ans.
Plus de 1000 personnes ont été blessées lorsque ce roche, de 20 mètres et de 9000 tonnes, a explosé. L'énergie déclenchée correspondait à 500 kilotonnes de TNT, 30 fois la puissance de la bombe atomique sur Hiroshima. Certains scientifiques estiment qu’un impact de cette ampleur se produit en moyenne 1 fois tous les 20 ans.
Jusqu'à présent, seuls quelques petits corps
spatiaux approchant la terre ont été découverts à l'avance. Le premier était
l'astéroïde 2008 TC3
de 4 mètres. Il a été découvert
19 heures avant qu'elle n’a explosé au-dessus du désert
de Nubie. Un autre astéroïde, le 2014
AA de 2 à 4 mètres, a été découvert 21 heures avant qu’il ne s’est évincé dans l'océan Atlantique.
Mais, habituellement ces corps
frappent la terre sans avertissement.
Un des plus grands impacts a eu lieu en
1908 sur Tunguska en Sibérie. Un corps céleste a explosé à 6-10 km d'altitude et il a envoyé
un souffle si féroce vers le sol qu’il a décimé une grande zone boisée. L'impact avait une
énergie équivalente à 10-15 mégatonnes,
ce qui est suffisant pour assommer
une ville grande comme Marseille. Ce corps avait probablement
un diamètre de 60-100 mètres et selon les estimations des tels évènements se reproduiront environ
tous les 100-300 ans.
A plusieurs reprises, les astronomes n’ont découvert que trop tard que des corps dangereux ont passé dans le voisinage
de la Terre. Le 23 Mars 1989, l’astéroïde Asclépios,
de 300 mètres en diamètre, a passé sur une distance de 684 000
km. Cela peut ressembler à une bonne distance de
sécurité mais si seulement arrivé 6 heures plus tôt, la terre aurait été sur la trajectoire. Encore
plus alarmant est que ce corps céleste a été découvert 9 jours après le passage.
Ces incidents ne sont pas si rares dans le
système solaire. Le 19 Octobre 2014, une comète a jadis frappé la
surface de Mars. Elle a été découverte par un observatoire en Australie quelque
21 mois plus tôt. C’était une comète à long périodicité qui est venu des
franges du système solaire et qui a arrondi le soleil pour la première fois. Par
conséquence son orbite n’était pas connue. Avec un diamètre d’environ 400-700
mètres, il aurait été capable de détruire une grande surface sur la terre.
20 ans plus tôt, en Juillet 1994, Jupiter a été frappé par
un gros impact de la comète Shoemaker-Levy 9. C’était une comète capturé par la
gravitation de Jupiter autour duquel elle probablement avait circulé pendant quelques
décennies. Elle avait été découverte 16 mois avant la collision.
Il est donc devenu de plus en plus évident que des corps
célestes passent dans notre proximité avec des risques flagrants de collisions.
En anglais ils sont appelé NEOS, (near-earth objects). Dans les pires cas, ils
peuvent potentiellement anéantir toute la vie sur la terre. Afin
d'avoir le temps de nous défendre il faut du temps, amplement du temps, voir décennies.
Par
conséquent, il est extrêmement important que nous ayons un bon système de détection
de tous les types d'objets dangereux.
Un certain nombre de projets pour mapper les corps célestes dans notre environnement spatial sont déjà en cours. La NASA et l'ESA sont en train de développer des nouveaux systèmes de détections, à la fois sur le sol et dans l'espace. Ils comprennent des grands télescopes automatisés et spécialement conçus pour observer des corps célestes les plus petits. Selon un tractât les européen tracent des objets petites dans notre voisinage et les américains cherchent des gros objets plus loin.
Le changement aux méthodes de détection
moderne et automatisé a rapidement donné de très bons
résultats. L’an 2000 il y avait environ 500 NEOS connu, en le 18 Juin, 2013
le 10 000éme corps a été découvert et actuellement il y a plus de 12 000 objets enregistrés.
Cependant, il n’est pas assez de connaitre la position et le
taille des objets, il faut aussi calculer leurs trajectoires. Il se fait à Valladolid,
Espagne, avec le logiciel Sency, qui automatiquement calcule la probabilité de
collisions futures. Si un objet de haut risque a été identifié Sentry alerté le
personnel qui effectuent une vérification manuelle et envoie l'information à
Pise, Italie, qui fait une évaluation indépendant.
L’information ne devient pas publique au moins que ces deux structures ont vérifié
le danger.
Pour éviter une catastrophe il est au moins théoriquement possible
d’envoyer un vaseux spatial avec la capacité de changer la trajectoire de l’objet.
Cependant, pour l'instant, nous avons seulement l'accès aux engins relativement
lents, qui fait que de se mettre en position de frappe prend très long temps,
voir décennies.
La seule possibilité que nous avons
actuellement est d’en tout hâte concocter un vaisseau spatial avec un équipement non testé, essayer de l’équiper avec un moteur ionique fiable
et rapide, le charger avec des ordinateurs et du
matériel de communication, ainsi qu’une vieille bombe atomique américaine ou russe. De plus, cela nécessiterait une
roquette vacant qui peut démarrer
pendant les quelques heures lorsque la « fenêtre » de la bonne trajectoire est ouverte. Ensuite, il faut guider le vaisseau pour qu’il trouve une petite
cible noire à 150 millions
de kilomètres distance et qui avance
avec une vitesse de 20-60 kilomètres
par seconde.
Une détection de loin
nous donne plus de temps de réagir et plus d'options d’agir. Si une
opération sauvetage pourrait démarrée une décennie avant une collision potentielle,
il suffirait de par exemple d’augmenter la vitesse d’un astéroïde
par 1 cm/s pour le pousser un rayon de
la Terre.
Si la menace est plus
imminente, il faut des méthodes assez drastiques. Une possibilité est la méthode, dit cinétique, où un vaseux spatial entrer
en collision avec l'objet pour changer la
trajectoire. Cette méthode est
probablement le meilleur pour des petits astres massifs,
jusqu'à quelques centaines de mètres de
diamètre.
De envoyer des armes nucléaires est très dangereuses. Mais, dans certaines situations, le nucléaire pourrait être le seul moyenne - par exemple quand il s’agit de corps plus grandes que d'un kilomètre - ou comme un dernier recours si une collision est imminente.
De envoyer des armes nucléaires est très dangereuses. Mais, dans certaines situations, le nucléaire pourrait être le seul moyenne - par exemple quand il s’agit de corps plus grandes que d'un kilomètre - ou comme un dernier recours si une collision est imminente.
Un défi dans ce contexte est de trouver des
solutions qui conviennent à tous
les types d'objets comme des astéroïdes rocheux, des blocs de glacées ou des noyaux cométaires moelleuses. Une méthode radicale qui peut fonctionner sur un énorme astéroïde solide pourrait briser un
noyau d’une comète fragile et provoquer une douche dévastatrice
de météores.
Une méthode moins risqué serrait d'utiliser
un rayon de laser. Dans ce cas ce sont des impulsions intenses
qui chauffent la surface et provoquerait un jet de
plasma qui lentement modifierait la trajectoire du corps. On éviterait ainsi de transporter des grandes
quantités de carburant, à la fois pour le voyage et pour le déplacement. Pourtant, il n’est pas encore connu
jusqu’au quel taille ce méthode fonction.
Les chercheurs pensent qu’il faut attendre jusqu’au
2050 avant que nous pouvons réaliser une défense
planétaire efficace.
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