La psychologie comme discipline s’est débranchée de la philosophie dans des
années 1870. Depuis lors, et jusqu’au nos jours, les psychologues ont examiné
le cerveau humain comme une boite noire. C’est-à-dire qu’elles le stimulaient,
par exemple avec questions, images, textes ou sons, puis elles évaluaient ce
qui sortait, la réaction. C’est par ce méthode que les psychologues pendant des
décennies ont essayé de de se faire une image sur le fonctionnement du cerveau.
Ce mode de recherche a relativement bien réussi avec les diagnoses.
La liste de conditions mentales est longe. Une personne peut par exemple être
névrotique ou psychotique, ou comme la plus part de nous absolument normale et
seulement souffrants de quelques addictions.
Cependant, les réussites des traitements ne sont pas si
spectaculaires et les représentants de différentes orientations de thérapies ont
suivant était comme chat et chiens. Un exemple est la psychanalyse et la thérapie
cognitive. La dernière est plus moderne et à l’introduction elle a était accusé
de conditionner des personnes comme on conditionne des chiens.
Maintenait nous savon que certaines phobies, par exemple
peur de araignées, suivant ne sont que des fantômes du
cerveau. Dans ces cas la thérapie cognitive fonctionne
bien. Mais, il se peut aussi qu’une phobie a des raisons plus profondes et que le
traitement n’a aucun effet.
Des progrès scientifiques ont maintenant
nous donné une possibilité de voir ce qui se passe dans le cerveau et ce fait a
changé la donne.
En étudiant le
cerveau par résonance magnétique
on peut maintenant savoir si un patient
souffrant d’une phobie sociale est
sensibles à la thérapie cognitive ou non. C’est qui montre une nouvelle étude
de l'Université de Linköping. Les
cerveaux de 26 personnes,
atteintes de troubles d'anxiétés sociales, ont préliminairement été examinés par résonance
magnétique lorsqu’elles lisaient des textes d’autocritiques.
Puis, ils étaient traités par thérapie cognitive sur internet pendant 9 semaines. Le résultat était évalué un an plus tard. Les chercheurs ont pu constater qu’il existe une corrélation entre le type d’activité cervicale enregistré pendant la première phase du test et les progrès thérapeutique. Elle est si fort que c’est maintenant possible d’avec 92% certitude prédire si une personne souffrant d’une phobie sociale répondra favorablement à la thérapie cognitive ou non.
Puis, ils étaient traités par thérapie cognitive sur internet pendant 9 semaines. Le résultat était évalué un an plus tard. Les chercheurs ont pu constater qu’il existe une corrélation entre le type d’activité cervicale enregistré pendant la première phase du test et les progrès thérapeutique. Elle est si fort que c’est maintenant possible d’avec 92% certitude prédire si une personne souffrant d’une phobie sociale répondra favorablement à la thérapie cognitive ou non.
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