Un jour, il y a
quelques millions d'années, un enfant est né avec une
mutation, c’est-à-dire un petit changement dans un gène.
Un de nos ancêtres de caractère signe avait donné naissance à un enfant avec un cortex
plus épais et plus compliqué que les autres. La mutation s’avère bénéfique
et au fil de temps cet enfant a eu des
nombreux descendants qui eux
aussi ont porté la prédisposition pour ce type de cortex.
Aujourd'hui nous avons tous cette altération
génétique. Les Neandertals et leurs
cousins moins connus, les hominidés
de Denisova, l’avait aussi mais chez les signes elle est absente. Ce gène
particulier semble être l'un des facteurs
essentiels qui nous distingue des
singes.
C’est qu’a montré un groupe de chercheurs en Allemagne, dont le plus connu probablement est Svante Pääbo.
C’est qu’a montré un groupe de chercheurs en Allemagne, dont le plus connu probablement est Svante Pääbo.
Les chercheurs ont examiné des séquences d'ADN de chimpanzés,
Neandertals et hominidés
de Denisova pour ce gène. Puis, ils ont introduit la variante
humaine chez des souris. Elles ne
sont pas devenues aussi intelligent que nous mais elles ont vraiment eu des cortex plus épais.
Ce gène impacte
la couche externe du cortex cérébral
qui contrôle des facultés telles que la
langue et la pensée consciente. Ainsi,
il semble que nous avons nos capacités spécifiquement humaines en partie grâce à ce gène.
Le cerveau héberge aussi deux petites structures en forme de cheval de mer appelé l'hippocampe. Ils ont un impact majeur sur notre mémoire et notre sens de l'orientation.
Une chose particulier avec l'hippocampe humaine est qu’il est capable de produire de nouveaux neurones. Dans le reste du cerveau nous devons nous contenter avec les anciennes cellules dont nous sommes nés.
La recherche sur des nouveaux neurones c’est développé de manière significative ces dernières années.
Un des pionniers dans ce domaine est Elizabeth
Gould à l'Université de Princeton
aux Etats-Unis.
La plupart des recherches d’elle a été réalisée sur des animaux de laboratoire. Mais, il existe des raisons à croire que le cerveau humain fonctionne de la même façon.
Un facteur qui est
dévastateur pour les nouvelles cellules du cerveau est le stress. Les animaux de laboratoire
qui se trouvent au bas de la hiérarchie rénovent moins de cellules
cérébrales que ceux qui sont au
sommet.
Pourtant, cela ne s’applique
que si la structure de la hiérarchie
est stable. Si elle est temporaire
et mutable, qui dans
le monde animaux d'expérimentation correspond à une réorganisation
majeure en milieu de travail humain, tout le monde rénove moins de nouveaux
neurones, même ceux qui sont au top de la pyramide de commande.
Un environnement morne
et non-dynamique conduit à moins de neurones,
tandis qu’un environnement riche et
amusant avec des jouets et
de la compagnie mène à plus de nouveaux neurones.
L'exercice physique favorise aussi de nouveaux neurones, comme fait le sexe. Moins de nouveaux neurones conduits généralement à une augmentation de l’anxiété, tandis que plus conduit à moins d'anxiété.
L'exercice physique favorise aussi de nouveaux neurones, comme fait le sexe. Moins de nouveaux neurones conduits généralement à une augmentation de l’anxiété, tandis que plus conduit à moins d'anxiété.
Dans le quotidienne il est difficile de parfois éviter d’être stressé. Il est par conséquence utile de savoir que les effets bénéfiques d’exercices et de sexes équilibrent les effets néfastes du stress. Au moins chez les animaux de laboratoire.
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