Vers la fin des années 1990 il y a eu une
grande turbulence autour de la nouvelle société islandaise Decode. Le fondateur et dirigeant de la société, le professeur de neurologie charismatique
Kari Stefansson, étaient
rentrés des États-Unis avec une
grande vision.
Il a voulu combiner le génie génétique avec certaines caractéristiques uniques pour Islande. D'abord, une population qui est homogène et qui n’a presque pas été affecté par immigration depuis l'époque des Vikings. Deuxièmement, un énorme intérêt pour la généalogie, avec des liens confirmé qui remonte à des milliers d'années. Troisièmement, des dossiers et des échantillons médicaux de sang et tissus qui ont été conservé pendant des décennies.
Il a voulu combiner le génie génétique avec certaines caractéristiques uniques pour Islande. D'abord, une population qui est homogène et qui n’a presque pas été affecté par immigration depuis l'époque des Vikings. Deuxièmement, un énorme intérêt pour la généalogie, avec des liens confirmé qui remonte à des milliers d'années. Troisièmement, des dossiers et des échantillons médicaux de sang et tissus qui ont été conservé pendant des décennies.
Ce troisième point a
provoqué un tollé. Un contre-mouvement,
dirigé par le chef de l'hôpital
psychiatrique de Reykjavík, s’est
fermement opposée. Les opposants faisaient valoir
qu’il serait contraire l'éthique sociales de divulguer de données personnelles sensibles
à une entreprise commerciale.
Le débat a finalement conduit à un compromis qui c’est finalisé avec une nouvelle loi qui permette cette recherche sous certaines contraintes éthiques. Decode n'a pas obtenu l’autorisation d’analyser l’ADN de tous les Islandais mais seulement ceux qui ont donné leur autorisation écrite. Ce qu’a fait 100 000 des Islandais, 31% de la population.
Le grandiose plan de Decode n’est pas se réalisé. L’entreprise a fait faillite et elle est maintenant contrôlée par des investisseurs étrangers.
Mais scientifiquement, le projet a été un véritable succès.
Le débat a finalement conduit à un compromis qui c’est finalisé avec une nouvelle loi qui permette cette recherche sous certaines contraintes éthiques. Decode n'a pas obtenu l’autorisation d’analyser l’ADN de tous les Islandais mais seulement ceux qui ont donné leur autorisation écrite. Ce qu’a fait 100 000 des Islandais, 31% de la population.
Le grandiose plan de Decode n’est pas se réalisé. L’entreprise a fait faillite et elle est maintenant contrôlée par des investisseurs étrangers.
Mais scientifiquement, le projet a été un véritable succès.
Kari Stefansson
et ses collègues ont au fil des années
publiées beaucoup d’études intéressantes sur la fonction de certains gènes. Par exemple ceux qui augmentent le
risque pour la schizophrénie.
Encore une étude a récemment été publiée. Les résultats sont basés sur l'analyse d'ADN total de 2 600 Islandais - qui actuellement est la plus complète cartographie génétique du monde - ainsi que des analyses plus limitée de plus de 100 000 Islandais.
Encore une étude a récemment été publiée. Les résultats sont basés sur l'analyse d'ADN total de 2 600 Islandais - qui actuellement est la plus complète cartographie génétique du monde - ainsi que des analyses plus limitée de plus de 100 000 Islandais.
Les résultats comprennent
de nombreuses nouvelles données sur les variantes génétiques qui augmentent le risque
de diverses maladies, y compris la
maladie d'Alzheimer. Il y a une
enquête de 750 hommes et de leurs héritages paternelle vers les années 1300. L’étude offre la meilleure
valeur à ce jour sur la fréquence
des mutations et donc à quelle vitesse l'évolution avance.
Le résultat le plus spectaculaire est néanmoins que les Islandais vivent avec des gènes qui ne fonctionnent pas.
Le résultat le plus spectaculaire est néanmoins que les Islandais vivent avec des gènes qui ne fonctionnent pas.
Chaque humain a un
peu plus de 20 000 gènes. Beaucoup d’eux doivent
fonctionner, sinon nous ne survivrons pas. Mais, assez souvent nous pouvons vivre avec
des gènes défectueux. Dans la plupart des cas, nous avons deux ensembles, un de la mère et un du père, et il est suffisant
qu’un des deux est intact.
Des gènes dysfonctionnels sont parfois la cause de maladies graves. Pourtant, il existe aussi des gènes défectueux qu’il est possible de vivre avec. Ces types de gènes se sont avérés être assez fréquentes pour le sens de l'odorat.
Des gènes dysfonctionnels sont parfois la cause de maladies graves. Pourtant, il existe aussi des gènes défectueux qu’il est possible de vivre avec. Ces types de gènes se sont avérés être assez fréquentes pour le sens de l'odorat.
Au cours de notre
développement nous avons perdu de
nombreux récepteurs d'odeurs. Cela peut être observé dans la séquence génétique où il existe des
nombreuses traces de gènes d’odeurs
qui ne fonctionnent plus. Cette perte de fonctionnalité se
déroule encore. Certaines
personnes ont plus de dégradations dans la capacité de
reconnaître des odeurs
que d'autres. Cependant, ils vivent très bien car dans la vie moderne le sens de l'odorat n’est pas aussi critique qu’il une fois a été. L’évolution de l’humanité continue.
Parce que le sens de l'odorat aussi impact l'expérience de goûts, cela signifie que nous avons des différentes prédispositions génétiques pour la découverte d’odeurs et de goûts.
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