Énergie chez les buralistes

Un grand problème avec le monde connecté est que les batteries de nos appareilles à mains se vident et il arrive, bien sûr, toujours quand nous avons vraiment besoin d’une information ou un contact. Il y a des proactives qui porte une batterie de plus mais elle pèse et il faut aussi s’assurer qu’elle toujours est chargé.

La solution de MyFC Powertrekk est super-moderne : Une pile combustible alimentée par hydrogène et l’oxygène dans l’air. Elle a deux parties, un boit avec une poche et un cartouche avec le combustible. Le cartouche à la taille d’une carte de crédit. Pour un IPhone il est suffisant pour environ 1,5 chargement. Quand vidé, il est recyclable comme n’importe quel objet en plastique.

Dans le cartouche il y a un métal qui par corrosion d’un produits chimiques non spécifié, (acide ?), produit l’hydrogène. En plus, il faut un contrôle de cette réaction mais les détails sur ce fonctionnement ne semblent pas encore avoir été publiés.

Le chargeur est un fruit de la recherche fait à KTH, Stockholm. Cependant, parfois le chemin parcouru entre un produit du laboratoire et un produit qui fonctionne sur le marché est long. La première version, où l’hydrogène était produit par une réaction entre l’eau et une pastille de borohydrure de sodium, n’a pas plu les usagers. Il a fallu une recherche pour trouver les exigences :

1.  Que le prix du carburant ne doit pas dépasser 3 euro par charge.
2.  Que la capacité est suffisante.
3.  Que la taille et le poids sont gérables.   

Dans la dernière version il semble que ces critères sont satisfaits. L’idée est de vendre les cartouches chez les buralistes. Le prix indiqué est de 9 cartouches pour 10 euro.

Pourtant, le succès commercial n’est pas sûr. Il y a deux menaces :

1. Des batteries avec la double capacité sont en cours.
2. L’UE impose des chargeurs universels à partir de 2017. Il sera donc possible de charger en visite chez un amie, même s’il n’a pas le même marque d’appareille portable.