La démocratie ne peut
pas seule créer une bonne ambiance dans une société.
Pour le bon fonctionnement il faut en plus des élections aussi des institutions égalitaires. C’est la conclusion par
ceux qui s’intéressent à la Qualité de Gouvernance, QdG. Ce concept est un mesure à
quelle dégrées les institutions publiques sont fiables, objectives, non-corrompus,
non discriminatoires et compétentes.
Le QdG a un fort impact sur pratiquement
toutes les mesures de bien-être humain.
Un haut QdG est fortement lié à beaucoup de qualités positives, le développement économique, la bonne
éducation, un environnement peu dégradé, la
confiance, l'égalité et même le bonheur des citoyens.
Un important problème est que l’QdG, contrairement à la démocratie, est très difficile de faire passer comme réformes ou décisions stratégiques. Il faut du temps, parfois plus que des décennies, pour les conditions bureaucratiques de s’améliorer.
Un important problème est que l’QdG, contrairement à la démocratie, est très difficile de faire passer comme réformes ou décisions stratégiques. Il faut du temps, parfois plus que des décennies, pour les conditions bureaucratiques de s’améliorer.
Si on examine toutes
les mesures disponibles sur le bien-être humain, par exemple la confiance aux autres et le satisfaction qu’un individu a de sa vie, le degré de démocratie n’est pas si haut placé sur la liste. Le niveau
de l’QdG est beaucoup plus important. La démocratie seule n’est pas suffisant
pour donner des gens une bonne vie.
Ou, si on se pose la
question à l’inverse. Qui sont les factures qui rendent les gens malheureux ? Une cause est un mauvais état de santé. Les personnes malades
et ceux qui ne reçoivent pas les soins
nécessaires sont généralement malheureux.
Un autre facteur est de vivre dans des
sociétés discriminatoires et
corrompues. La pauvreté est aussi une cause de malheurs.
Mais, l’argent rend seulement heureux qu’à un certain niveau
qui est inférieure à ce que nous généralement ont dans les pays développés.
La conclusion est que
la corruption et le mauvais fonctionnement des institutions publiques donne un sentiment
de ne pas avoir le contrôle de sa propre
vie. Il crée une existence
caractérisée par imprévisibilité et méfiance où, en tant qu'individus, nous
nous sentons sans possibilités. Concrètement
il peut s’agir de devoir payer pour des bonnes notes à l'école, d'appartenir à une famille particulière, avoir une certaine origine
ethnique pour obtenir un emploi publique,
de la police qui opprime des citoyens ou des groupes et des tribunaux qui favorise ceux qui ont
des bons contacts.
La corruption n’est pas un petit problème. Dans un sondage récent, réalisé par le Pew Research Center, sur ce qui est aperçu comme des problèmes dans les pays en développement, la criminalité et la corruption sont en tête. Ces deux problèmes, qui également prennent ampleur, sont perçus comme bien pire que les problèmes de mauvaise gestion des soins, des écoles mauvaises, l’eau impure ou la dégradation de l'environnement. Les pays d'Afrique, ont selon cette enquête des importants problèmes avec la corruption.
La corruption n’est pas un petit problème. Dans un sondage récent, réalisé par le Pew Research Center, sur ce qui est aperçu comme des problèmes dans les pays en développement, la criminalité et la corruption sont en tête. Ces deux problèmes, qui également prennent ampleur, sont perçus comme bien pire que les problèmes de mauvaise gestion des soins, des écoles mauvaises, l’eau impure ou la dégradation de l'environnement. Les pays d'Afrique, ont selon cette enquête des importants problèmes avec la corruption.
La confiance aux autres et la corruption fonctionnent comme des vases communicants. Les pays avec grande confiance pour
les institutions ont généralement peu de corruption. Les scientifiques constatent
que la corruption dévore la confiance sociale.
Il est donc bien connu que la confiance et un haut QdG vont ensemble. Mais, ce qui cause quoi est beaucoup plus difficile à constater, même s’il y a des nombreuses indications qu'un haut QdG aussi mène à un haut niveau de confiance.
Il est donc bien connu que la confiance et un haut QdG vont ensemble. Mais, ce qui cause quoi est beaucoup plus difficile à constater, même s’il y a des nombreuses indications qu'un haut QdG aussi mène à un haut niveau de confiance.
Il semble que nous ont mal compris la nature de la corruption.
La plupart des économistes et des politologues
ont longtemps été indifférent, car ils apercevraient la corruption comme de la lubrification pour les roues
économiques. De nombreuses campagnes anti-corruption
ont été organisées dans des pays, évoquant que la
corruption est inacceptable.
Selon les chercheurs cela est complètement
inutile, car les gens dans les
sociétés profondément corrompus savent
déjà que la corruption est mauvaise.
Au Nigeria les gens pensent tant que la corruption est mauvaise comme ils le font au Danemark. Les gens détestent véritablement ceux qui s’enrichissent
dans le secteur public. Ce n’est pas une « question culturelle
».
En revanche, il est inutile et même dangereux de ne pas prendre ou donner des pots de vin dans une société corrompue. Tout le monde en est conscient et leurs comportements sont tout à
fait rationnels. Cela signifie concrètement que si vous devez payer le médecin sous la table
pour qu’il vacciner vous enfants, vous le fait, même si vous savez
que c’est mauvais. Si tous vous collègues dans la police collaborent avec mafia de la drogue, il
est extrêmement dangereux de ne pas
le faire et cetera.
De combattre la corruption est un grand changement, un bang. Il s’agit de changer le comportement de toute une société, dans un temps très courte. Cela est arrivé dans le Nord-Ouest d’Europe il y a 150 ans, même si on ne connait pas assez les circonstances historiques. De la recherche est en cour.
De combattre la corruption est un grand changement, un bang. Il s’agit de changer le comportement de toute une société, dans un temps très courte. Cela est arrivé dans le Nord-Ouest d’Europe il y a 150 ans, même si on ne connait pas assez les circonstances historiques. De la recherche est en cour.
Jusqu'ici, les analyses
ont démontré que les pays ethniquement
homogènes en Europe nord et
occidentale avec une population protestante
souvent sort très bien placés dans les sondages. Il n’est également aucun inconvénient de géographiquement être une île ou péninsule. Ces faits sont scientifiquement bien connus.
Il y a quatre mécanismes
qui semblent contribuer à une amélioration
de le QdG.
Le premier est le système d'impôts. Si les gens ne
perçoivent pas qu'ils paient pour
les activités publiques, ils se
soucient moins de l’utilisation. Dans des états où
des gisements naturels ou des aides au
développement financent une grande partie du budget de l'Etat, les citoyens se soucie moins comment ces
ressources sont utilisés. Dans des pays où beaucoup de monde paie des impôts, il y a une incitation pour les citoyens eux-mêmes, ou par des intermédiaires, médias ou autres,
de examiner les finances publiques.
Le second mécanisme est la méritocratie. Dans beaucoup de pays du monde,
peut-être la majorité, on n’est que partiellement
engagé sur ces compétences. Il est beaucoup plus important d'avoir des bons parents, une ethnicité correcte, un sexe correct, d’appartenir au parti
politique en pouvoir ou avoir des bons contacts. Par contre, si
toutes les compétences sont bien utilisées, le pays est mieux fourni pour résoudre ces
problèmes.
Un troisième point est
d’avoir un système d’éducation libre et équitable. Basé sur des données historiques, les chercheurs constatent que les pays où tous les enfants ont une chance raisonnablement équitable dans le système éducatif, présentent de nombreux avantages. Les pays
ayant une longue tradition de gratuité
de l'enseignement ont généralement de bonnes valeurs de QdG.
Le quatrième et dernier facteur est l'égalité des sexes dans le système politique. Le plus de femmes dans les parlements et les gouvernements le plus élevés sont les valeurs de QdG.
Le quatrième et dernier facteur est l'égalité des sexes dans le système politique. Le plus de femmes dans les parlements et les gouvernements le plus élevés sont les valeurs de QdG.
Dans n’importe quelle prison du monde
la majorité est masculine. Les hommes sont simplement beaucoup plus criminels que les femmes. Et, puisque la corruption est un crime, alors plus de femmes à la tête d’un pays
signifie moins de corruption.
Dans l'Europe du
nord-ouest, cette transformation a débuté dans le milieu des années 1800. Il y a eu l'école
obligatoire, des réformes fiscales, une augmentation
de la estimation basé sur mérites et une
administration simplifiée. De plus, les femmes ont
progressivement eu plus des droits. Tout cela s’est passé bien avant qu’il y eu des suffrages
universels. Mais, dans des nombreux pays d’aujourd'hui la démocratie s’est
installée avant qu'il y ait une bonne qualité de QdG.
Qui fait que des nombreuses pays sont des
démocraties formelles, mais comme telles aussi plein
de dysfonctionnements.
Un pays comme la
Suède a une haute qualité de
la démocratie et le QdG, alors que la Somalie n’a ni démocratie, ni un bon QdG. Cependant, il existe des pays où
les choses ne sont pas si évident. Le Singapour n’est pas
une démocratie mais il a un bon QdG
parce que le niveau de corruption est bas et les
institutions fonctionnent. A l'inverse, des pays comme la Jamaïque et l'Afrique du Sud sont par toutes les mesures
disponibles des démocraties mais ils ont des mauvaises valeurs de QdG, parce
que leurs problèmes avec corruptions, discriminations et criminalités sont graves.
Les chercheurs ont plus particulièrement étudié l’Europe. Les meilleures valeurs de QdG se trouvent dans le nord et dans l’ouest. Mais, les différences ne s’arrêtent pas aux frontières des pays. Ils sont aussi régionaux, dont l’Italie est un bon exemple.
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