Comme une option à décrire le bonheur avec les plaisirs de
la table on peut utiliser la nature. Dans ce cas par une région en l’est de
Finlande même si les circonstances sous-jacentes sont un
peu spéciales.
Le plus belle parmi les belles échappées
est vu dans la lueur de Carélie,
comme le reflet d’eau entre les arbres, comme l'eau d'été allégé,
dans le temps Juin-lumière quand la soirée à peine a le temps à faire sombre
avant le coucou en bois flûte clairement crie à Aino le douce.
comme le reflet d’eau entre les arbres, comme l'eau d'été allégé,
dans le temps Juin-lumière quand la soirée à peine a le temps à faire sombre
avant le coucou en bois flûte clairement crie à Aino le douce.
Une guerre fait rage sur la Terre et
les gens fuient vers Mars.
Un des vaisseaux spatiaux, Aniara, porte 8000
émigrants. Le navire rencontre un astéroïde et
doit faire une manœuvre
d'évitement. Ce qu'il met sur une
trajectoire hyperbolique dans le système
solaire vers la constellation de la lyre, sans espoir de retour. L’histoire décrit les tentatives des émigrants à faire face à leur sort. L'hédonisme, la
religion, la science et cetera sont entrecoupés avec des
réminiscences de la guerre et des
moments antécédentes heureux, d’où le poème.
Un rôle central
est joué par l'ordinateur du navire, le Mima, qui
ne est pas seulement intellectuellement supérieur à n’importe quel humain, elle abrite
aussi des émotions profondes et meurt de chagrin quand
il voit la destruction de la
Terre. Après 20 ans, le vaisseau a
seulement parcouru 16 heures-lumière et il se
trouve à la périphérie du système
solaire. Le dernier passager
meurt après 25 ans et le destin du
vaisseau est de voyager encore 15 000 années avant d'atteindre le voisinage d'une autre étoile.
L’auteur compare le
vaisseau avec « une bulle dans le verre de l'esprit de Dieu », en se référant aux les lents mouvements de bulles dans le verre.
L’histoire est écrite par Harry Martinson,
prix Nobel de littérature 1974, « pour des écrits qui
capture des gouttes rosées et reflètent
le cosmos ».
Le compositeur Karl-Birger Blomdahl a été
très touché par l’histoire et il en a fait un opérera. La musique ne me semble
pas fait pour être agréable mais ni est le destine des passagers sur le
vaisseau spatiale d’Aniara.
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