Un des maquettes dans l’alphabet
mécanique.
Le père de la ingénierie mécanique suédois, Christopher
Polhem, a été honoré avec un page francophone en
Wikipèdia. Vu de tous les canaux, écluses et
levages de mines, qu’il a conçues, il le mérite bien. Il
a aussi enseigné son art avec l’aide d’un ensemble de petites maquettes appelé
l’alphabète mécanique. Son visage orne aussi le billet de 500 couronnes.
Un prix dans son honneur, le prix de Polhem,
a été institué en 1878. Il est le
prix le plus ancien et la
plus prestigieuses pour innovateurs suédois. Le prix est décerné à une innovation technologique de haut niveau ou une solution ingénieuse à un problème technique. L'innovation devrait être disponible sur le marché, durable et respectueux de
l'environnement.
Pourtant, presque tous qui l’ont eu sont des
hommes. La parité dans ce domaine manque totalement, 55 hommes et 2 femmes.
La première femme qui a eu le prix, en 2009,
était Laila Ohlgren. Elle travaillait avec le développement des téléphones
mobiles à l’époque quand la technologie encore appelait radiotéléphonie. Parce
que les signales passe par l’air il y avait souvent des perturbations qui
déformaient le numéro appelé. Il fallait le recomposer une deuxième fois ou
parfois un troisième. Laila a résolu cette nuisance avec le bouton vert. Il
enregistre le numéro et s’il ne passe pas il répète des tentatives. Chaque
portable dans le monde, et ils sont nombreux, est maintenant équipé d’un bouton
vert.
La deuxième dame a avoir le prix, en 2013,
était Petra Wadström pour son technologie de rendre l’eau potable avec
l’énergie solaire.
Le Président du Comité
de Nomination est actuellement une femme. Elle espère qu’il aura un changement.
À son avis, le déficit de femmes honorées est dû à le
grand manque de propositions de
candidature. Elle invite donc le
public d’immédiatement commencer à envoyer des suggestions
pour le prix l'an prochain.
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