Les énergies renouvelables ne manquent pas. Le continu dans le
vent, le soleil, les vagues et le sol est plus que suffisants pour nos besoins.
Le problème est de les extrader à un coût raisonnable.
Un de ces sources, l’énergie géothermique,
n’est pas beaucoup discuté parce que la technologie d’extradition d’aujourd’hui
est limité aux endroits où la source est assez superficielle, telle que endroits
près de volcans.
Pourtant, le terre est très chaud à l’intérieure. Selon un estimât
la température est de 5 430 °C au centre et il est maintenue par des réactions
radioactives et de l'accrétion planétaire. Cette chaleur coule vers la surface où elle est dissipée.
Le gradient près de la surface varie beaucoup mais le moyenne est autour de 25 °C/km.
Certains lieux ont un gradient plus haut. Un exemple est Soultz-sous-Forêts
(Alsace), où il est de 40 °C/km. Une station expérimentale sur cette localisation
est en fonction depuis 2010. La chaleur est cherchée à 5 km de profondeur et elle
suffit à produire de la vapeur de 200 °C. La puissance électrique est de 1,5 MW,
un facteur 1000 moins qu’une centrale nucléaire.
Dans ce cas il y de l’eau salé à la profondeur car le roche
est naturellement fracturé. Le but est de développer une technologie pour
augmenter cette fracturation permettant l’eau à circuler d’un puis d’injection à
un puis de pompage, séparé de plusieurs centaines de métrés, avec un minimum
d’énergie de pompage.
Les espagnoles s’intéressent aussi à cette
technologie. Ils ont cartographiés
leurs ressources. Dans le sous-sol de la péninsule ibérique il existe la
possibilité potentielle d’extrader jusqu'à 700 gigawatts, qui est 5 fois plus que leur
consommation d’électricité actuelle.
Pourtant, un mis en œuvre sur grande échelle
est encore loin. Il y a des problèmes important à résoudre par exemple la meilleure
technique de perforation et
la meilleure façon de fracturer la roche.
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