Le coût de la criminalité
Deux économistes suédois ont fait un calcule sur le coût de la criminalité et la délinquance en Södertälje, une ville avec 65 000 habitants.
Voici quelques exemples :
Un vol avec violence, 22 600 €. Un « très modérée » abus, 20 300 €. Une reprise d’une dette par un criminel, 12 300 €. Cependant, si une personne devint handicapé le coût peu finir vert les 5 millions d'euros.
Ces « prix » incluent les coûts pour la justice, la santé, la réhabilitation et les pertes de salaires. Les payeurs sont l'état, par l'intermédiaire du système juridique et assurances sociales, le département et la municipalité. Les coûts pour emprisonnements ne sont pas inclus.
Beaucoup de structures sont touchés. Chacun paye sont partie et c’est pourquoi les vrais coûts pendants long temps ont été invisibles. Pourtant, pour inciter les politiciens à mieux calculer ce qu’on dans un langage économique appelle « investissement social » il est très important d’avoir des bons chiffres.
Selon le rapport les coûts totaux pour la violence dans la ville est de 7 millions d’euros par an. De doubler la présence policière pendant les fin des semaines coûterait 0,15 millions d'euros. Si cette mesure seulement réduirait la violence de 3 % il serrait payé.
Un autre aspect est qu’il y a des sommes énormes à gagner en évitant qu’une jeune personne se mette sur le chemin criminel. La ville a aujourd'hui 600 garçons dans les âges de 13-18 qui sont dans la zone de risque. Entre eux 50 sont considérés comme des cas particulièrement graves qui à l’âge de 40 ans risque d’avoir coûté la société jusqu'à 8 millions d’euros par personne.
Un gang de malfaiteurs de autour de 20 personnes coûterait pendant une période de 20 ans 65 millions d’euros. D’investir dans un travail social quand les candidates potentielles à cette activité ont 10 ans est donc une très bonne affaire.
Selon les chercheurs le principal fournisseur d'exclusion sociale est l’école. Ceux qui supportent mal l'école sont dans la zone de risque. Environ 25 % quittent l'école secondaire sans diplômes complets et environ la moitié entre eux n’auront jamais un travail stable.
Voici quelques exemples :
Un vol avec violence, 22 600 €. Un « très modérée » abus, 20 300 €. Une reprise d’une dette par un criminel, 12 300 €. Cependant, si une personne devint handicapé le coût peu finir vert les 5 millions d'euros.
Ces « prix » incluent les coûts pour la justice, la santé, la réhabilitation et les pertes de salaires. Les payeurs sont l'état, par l'intermédiaire du système juridique et assurances sociales, le département et la municipalité. Les coûts pour emprisonnements ne sont pas inclus.
Beaucoup de structures sont touchés. Chacun paye sont partie et c’est pourquoi les vrais coûts pendants long temps ont été invisibles. Pourtant, pour inciter les politiciens à mieux calculer ce qu’on dans un langage économique appelle « investissement social » il est très important d’avoir des bons chiffres.
Selon le rapport les coûts totaux pour la violence dans la ville est de 7 millions d’euros par an. De doubler la présence policière pendant les fin des semaines coûterait 0,15 millions d'euros. Si cette mesure seulement réduirait la violence de 3 % il serrait payé.
Un autre aspect est qu’il y a des sommes énormes à gagner en évitant qu’une jeune personne se mette sur le chemin criminel. La ville a aujourd'hui 600 garçons dans les âges de 13-18 qui sont dans la zone de risque. Entre eux 50 sont considérés comme des cas particulièrement graves qui à l’âge de 40 ans risque d’avoir coûté la société jusqu'à 8 millions d’euros par personne.
Un gang de malfaiteurs de autour de 20 personnes coûterait pendant une période de 20 ans 65 millions d’euros. D’investir dans un travail social quand les candidates potentielles à cette activité ont 10 ans est donc une très bonne affaire.
Selon les chercheurs le principal fournisseur d'exclusion sociale est l’école. Ceux qui supportent mal l'école sont dans la zone de risque. Environ 25 % quittent l'école secondaire sans diplômes complets et environ la moitié entre eux n’auront jamais un travail stable.
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