Ex-reine Christine de Suède à Paris
Après sa bref visite à Marseille le voyage de Cristina continuait vers le nord. Des commîtes d’accueils l’attendait dans chaque ville et petit village qu’elle passait. Cela était tout à fait intentionnel. Paris avait besoin de temps pour organiser la réception. Ils voulaient également montrer la prospérité du pays. Pour se faire ils avaient répandu la rumeur que Christine était très friande de pompe et de cérémonies et les villes se concurrençaient en pompe.
Sa réception à Paris en 1656 a été brillante.
Christine a entrepris la mise au point
de plans secrets pour la conquête de Naples, qui à l'époque était en possession espagnole avec
le cardinal Mazarin. Le cardinal semblait favoriser le plan. Cependant, sont
cousin Charles X, maintenant sur la trône, avait eu beaucoup de victoires sur
les chants de bataille dans le nord. Mazarin avait probablement compris que
Christine peut-être n’était pas le gros poisson qu’il avait pensé et que de lui
réinstaller et rendre la Suède
catholique serrait très compliqué. Il ne faisait pas grand-chose pour
l’assister.
Elle est retournée en
Italie, mais en 1657 elle est réapparue en France, mais cette fois ici peu bienvenue.
Elle a dû se loger à Fontainebleau
et c'est là où elle, le 10 novembre avait laissé exécuter son premier écuyer
Gian Rinaldo Monaldesco.
Christine était lui-même à la fois procureur et juge. Après une brève discussion elle a ordonné qu’il
soit exécuté. Dés qu’elle avait quitté la pièce ses
soldats obéissaient l’ordre. L’assassinat
a choqué l'ensemble de l'Europe.
Une reine suédoise avait dans un palais
d’un roi français exécuté un noble italien !
Monaldesco avait probablement
trahi les plans politiques en
Espagne. Malgré le ressentiment
que cette exécution a suscité Christine
a resté jusqu’au l’année suivante où elle
est retourné à Rome. Ses plans pour Naples sont entre-temps partis en fumée.
Christine est la seul femme enterrée dans la
basilique Saint-Pierre à Rome, un honneur qu’elle partage avec 200 papes. Sur
un panneau il est écrit : Kristina svearnas, götarnas och vandalernas
drottning, « Christine la reine des sveas, götas et vandales ». Il y a
une confusion, les sveas et les götas sont bien des suédois mais les vandales
ont été confondu avec des vends, habitants des provinces d’est, aujourd’hui les
finnois !
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