Le blog aléatoire

La vraie valeur des cadeaux

Noël génère des grosses caisses pour magasins et boutiques. Selon beaucoup d’économistes cela contribue à tourner l’engrenage économique et augmenter notre niveau de vie. Est-il sur ? On peut voir la chose autrement.

Les cadeaux de Noël sont coûteux, mais combien valent-ils pour le destinataire ? Par le fait que quelqu'un d'autre a choisi un cadeau, il n’est pas improbable que le récepteur estime la valeur à un prix plus bas que payé par le donneur. Si le cadeau coûte 10 €, mais le récepteur le val à 8 €, l'économie a perdu 2 €. Cette différence serait évidemment mieux utilisée ailleurs.

Il ne s’agit pas seulement de Noël. Dans presque toute garde-robe d’homme sont accrochés de douzaines de cravates non utilisé. Les tiroirs des femmes sont remplies de lingerie en soie inutilisable et les chambres d'enfants sont pleine de jouets peut appréciés. Selon une estimation les français utilisent chaque année 35 milliards euro pour cadeaux. Selon la modeste règle de 20% de pertes, ils valent 7 milliards ou plus que 500 € par citoyens, en vain.

L’autre fois les pouvoir essayaient de régler le gaspillage. Les sujets ne devraient pas dépenser leur argent sur bagatelles, surtout ne pas celles de l’étranger. Mais, s’ils le faisaient le gouvernement devrait au moins encaisser une partie de la dépense en forme d’impôts.

L’avarice régnait le monde. En Suède, la première réglementation est apparue en 1664. Elle était une interdiction pour les femmes de s’habiller au dessus leur classe sociale pour leur mariage.

Durant les années 1700 autres interdictions pleuvaient comme des cordes. Le vrai coup est apparu en 1766, lorsque le pouvoir avait changé main après 30 de gouvernance gaspilleuse par la classe supérieure. Tous plaisirs de la noblesse sont d’un coup devenu fortement taxés, café, chocolat, arak, punch, liqueurs, parfumes et plusieurs sortes de vin.

Les économistes modernes pensent autrement. Le plus vite qu’un produit est consommé et doit être remplacé le plus il y aura du travaille et le plus vite tourne l’engrenage économique. Si les produits sont bons, désirable ou utiles n’est pas leur affaire.