Énergie de la mer
Pour l’entreprise qui pendant 2 ans excrète le plus d’énergie de la mer nord d’Ecosse il y a un prix à gagner. La somme est énorme 10 millions £.
Le nom de cette compétition est le Saltire
Prize. Jusqu'à présentes quatre sociétés ont accepté le défi. La somme, le plus haut
que jamais vu dans un contexte d’énergies renouvelables, est garantie par le
gouvernement écossais qui vise d’avoir 100% d’énergies renouvelables dans leur
réseau électrique en 2020 !
Voici les premiers 4 entreprises qui ont
déclaré leur participation :
Aquamarine Power, qui a développé Oyster, (l'huître), une technique qui capte l'énergie des vagues côtières. L'ensemble est fondamentalement une pompe qui force l'eau sous haute pression à travers une turbine à terre.
Aquamarine Power, qui a développé Oyster, (l'huître), une technique qui capte l'énergie des vagues côtières. L'ensemble est fondamentalement une pompe qui force l'eau sous haute pression à travers une turbine à terre.
Pelamis
Wave Power qui a conçu le «serpent de
mer». Il est typiquement placé de 2 à 10
km de la côte. Chaque engin est composé de 5
sections cylindriques et le tout bouge comme un serpent dans la mer. La longueur
de 180 m est impressionnante.
MeyGen
a mis son premier prototype de 1 MW dans l'eau l'an
dernier. Le principe est ce d’un éolien sous-marin. Dans
la première étape de la compétition la société prévoit la construction de six
turbines propulsées par les marées.
ScottishPower
Renewables est un autre concept du éolien sous-marin. Cette
entreprise vise à construire une ferme
de totalement 95 MW de puissance installé.
Plusieurs sociétés suédoises espèrent aussi
pouvoir vendre leurs engins. Seabased est une.
Un autre est Minesto qui pense qu’il vaut
mieux être léger pour minimiser les coûts du matériel. Leurs cerfs volants
circulent en trajectoires de huit horizontales pour ne pas tordre le câble. L’avantage est que ces
cerfs volants volent beaucoup plus vite que le courant de la mer et par
conséquence peuvent utiliser des turbines qui tournent plus vite et donc sont
plus petites.
Que font les entreprises françaises ? DCNS,
qui est une entreprise important, vient d’acheter
la technologie de Finlande. Alstom préfère
une entreprise écossaise. Elles se
sont réveillées trop tard !
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