Régimes
Nos média sont riches en articles sur l'art de perdre du poids. Les plus courants ont
une image d’une femme maigre complétée avec un texte qui explique son méthode indéfectible.
En effet, le phénomène est tant vieux que
notre histoire culturelle. Louise Foxcroft a
écrit un livres dessous «Caloriers & corsets, a history of dieting over
2 000 years».
Déjà Socrate nous a mis en garde contre l'obésité. Une autre figure historique est George Gordon
Byron, mieux connu comme Lord Byron. Il était une célébrité au début
des années 1800, du moins au Royaume-Uni. Avec
son allure pâle, délicate et éthérée il incarnait l’image d’un
poète romantique – des pensées pures dans un corps maigre.
Pourtant, toute sa
vie était un combat contre son propre forme physique. Car, Byron avait ce qu'il décrit lui-même «une presque morbide tendance d’accumuler de la
matière grasse». Cela lui terrifiait
car il apercevait les gros comme paresseux, lents et stupides. Son délire a commencé comme étudiant à Cambridge où il suivait un régime strict composé
de biscuits, eau gazeuse et pommes de terre trempées en vinaigre. Pour que la sueur les
élimine une autre arme contre ces kilos tant haïs était plusieurs
couches de vêtements en laine épaisse.
Tout comme aujourd’hui ses mesures extrême était régulièrement suivit par des crises de boulimie qui se terminaient avec une
dose de sel amer, pour vomir. Cette obsession l’a suivie
toute sa vie.
Pendant un séjour dans
Villa Diodati, sur le lac Léman, où il fréquentait les écrivains les plus connus de l’époque, il fustigeait
durement de son corps. Voici qu’il mangeait :
Pour le petit déjeuner, une fine tranche de pain et
une tasse de thé, au milieu de la
journée, quelques légumes et une bouteille
d’eau gazeuse lacée avec quelques gouttes de vin, en
soirée, une tasse de thé vert, sans lait ni sucre. Afin d'enrayer la faim il fumait des copieuses
quantités de cigares.
Son régime strict a donné des résultats. Le négociant en vin Berry Bros & Rudd à Londres avait un pèse personnelle que Byron fréquemment utilisait. Dans leurs archives un document montre que Byron avec la taille de 1,80 mètre à l’âge de 18 ans lors de sa première arrivée pesait 88 kg, (IMC 27, surpoids dans l’échelle de nos jours). Cinq ans plus tard il avait perdu 31 kilo, (57 kilo= IMC 16, mal nourris).
Son régime strict a donné des résultats. Le négociant en vin Berry Bros & Rudd à Londres avait un pèse personnelle que Byron fréquemment utilisait. Dans leurs archives un document montre que Byron avec la taille de 1,80 mètre à l’âge de 18 ans lors de sa première arrivée pesait 88 kg, (IMC 27, surpoids dans l’échelle de nos jours). Cinq ans plus tard il avait perdu 31 kilo, (57 kilo= IMC 16, mal nourris).
La pâle et hagarde apparence de Byron
est devenue une mode. Un médecin de
l’époque, George Beard, était préoccupé
par l'obsession des romantiques de
manger peu, voire pas du tout.
«Nos jeunes femmes vivent leur enfance famélique»,
écrivait-il
À vu des médecins
dans la Grèce
antique un corps épais était à la origine de toutes formes de morbidités. Par conséquent, la première étape d'un traitement était
de mettre le patient sur diaita, régime diététique.
Pour Hippocrate, le grand pionnier de la médecine, cela signifiait un régime alimentaire strict,
combiné avec amplement d'exercice. Si la patiente était
obèse il recommandait aussi des vomissements réguliers.
À peu près en même temps le philosophe Socrate, qui lui-même aurait eu un ventre impressionnant, mettait les gens en garde contre la suralimentation. Car, de se offrir beaucoup de manger créerait aussi un désir d’autres formes de luxes. Cette avidité incontrôlée provoquerait à son tour une société injuste et finalement la guerre. Les éliment avalés n’étaient donc pas une affaire personnelle. L’aout-contrôle de manger modestement était une condition pour le bon fonctionnement de la société.
À peu près en même temps le philosophe Socrate, qui lui-même aurait eu un ventre impressionnant, mettait les gens en garde contre la suralimentation. Car, de se offrir beaucoup de manger créerait aussi un désir d’autres formes de luxes. Cette avidité incontrôlée provoquerait à son tour une société injuste et finalement la guerre. Les éliment avalés n’étaient donc pas une affaire personnelle. L’aout-contrôle de manger modestement était une condition pour le bon fonctionnement de la société.
Avec le christianisme
l'obésité est devenue encore plus problématique. Une
suite de régimes alimentaires a été lancée
au cours des siècles suivant JC. Celui
qui mange trop profite trop du
monde et ne pense pas assez en Dieu. La bombance est aussi
associé avec un péché encore
pire – le plaisir. Le maigre corps, à la limite affamé, est devenu l’idéal.
Plus tard, dans les années 1500, le député
britannique, John Hales,
s’inquiétait sur les habitudes des
anglais de trop manger. Il affirmait que
«plus de gens sont morts par trop de
nourriture que ne jamais par la peste». En ce moment, l'art
de l'imprimerie s’installait en Europe et un des résultats
étaient un flux incessant
de livres sur régimes. Jusqu'au début des années 1900
ces œuvres ciblaient presque exclusivement les hommes.
Pourtant, Byron est les athlètes grecques n’ont pas toujours étaient l’idéale. Il a eu une certaine variation sur le vu de corps
masculins au fil du temps. Dans certains époques un roi pouvait
s’admettre un gros ventre mais ne pas trop gros.
Guillaume le Conquérant, le vainqueur à Hastings, gagnait une surcharge pondérale considérable
à sa vieillesse et ses subordonnés se moquaient ouvertement de lui.
Gustav II Adolf, roi de la Suède 1611 - 1632.
Il n'est qu'au cours du
dernier siècle que l'obésité masculine a été mise
à l'écart et
les corps féminins focalisés. En 1930 un éditeur a
exclamé, «quel homme veut acheter un
livre sur la diététique» ?
Toutefois, aujourd'hui le pendule a basculé à nouveau et il est plutôt sur la
position régimes alimentaires pour
tout le monde. Les livres sur le
sujet sont presque incalculables.
Selon Foxcroft un lancement d'un nouveau régime a depuis
des siècles suivait le même schéma rigide.
Le rôle principal
est toujours un individu, généralement de sexe masculin et suivant un médecin, qui lui-même a eu un problème de poids ou a été approchés par des patients qui
en ont. Le docteur proscrit un régime qui semble fonctionner. Puis, commence le prosélytisme car les religions et les régimes ont
beaucoup en commune, notamment le désir d’être sauvé et la croyance.
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