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samedi 18 août 2012


De laver


Le lavage était auparavant un travaille pénible dans un environnement peu saint. Ceux qui ont vu les mains de veilles femmes d’une autre époque le comprennent. La machine à laver a été une bénédiction. Pourtant, comme appareille mécanique elle est beaucoup plus récente que la voiture.

Je peux m’imaginer de ce qu’une féministe dirait sur le fait qu’une innovation pour hommes à présidé une innovation pour femmes avec une cinquantaine d’années. Je répondrais qu’elle doit s’intéresser aux mathématiques et technologies.

Machines à laver étaient des nouveautés dans les années 1950. Auparavant il n’avait que le lavage à main ou de faire bouillir les blancs avec de la soude par fois au feu de bois. Les hommes de l’époque ne prenaient pas soin du linge. Alors c’étaient des femmes au foyer qui ont du apprendre à gérer la nouvelle technologie.    

En États-Unis dominaient les machines à agitateur dans le fond. Mais, suit aux testes, les organisations de consommation d’Europe ont recommandé le type tambour comme étant plus douce pour le linge.

Un grand problème était que les détergents ne cadraient pas bien avec ce type de machines. Ni la savons en poudre traditionnelle, ni les nouveaux détergents synthétiques ne fonctionnaient bien. Ces produits moussaient trop et les machines débordaient facilement ou boulaient à sec.  

C’est dans l'usine Sunlight à Nyköping, Suède qu’ils en 1957 ont trouvé la solution du problème. Leur nouvelle poudre synthétique, Via, a eu un succès énorme. Elle était facile à utiliser, il suffisait de verser tant qu’on pouvait voir une fin couche de mousse sur l’eau. Le fabriquant n’a pas tardé de montrer cette avantage comme un trait blanc sur le carton. Les ménages suédois ont grâce à ce progrès eu accès à un détergent moderne quelques années plus tôt que le reste de l'Europe.

Qu’il fût mieux avec moins de mousse n'était pas évident car les gens avaient depuis l’époque savon associé la mousse avec la puissance de nettoyage.


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Que de la mousse ne nettoie pas est un fait que les plus part des gens maintenant ont compris, avec certains exceptions. Un shampooing qui ne mousse pas est par exemple impossible à vendre.

Voici que font les fabricants. Ils remplacent le parfum dans une liquide vaisselle, ils ajoutent un produit moussant et ils le vendent 10 fois plus cher.

J’utilise le Mir ou équivalant. Puis, je sors entouré d’un nuage de parfum citron. C’est pour les repousser – les femmes.        

2 commentaires:

  1. si nous avions un pelage, comme les animaux,nous n'aurions pas de problemes avec la maintenance du linge (lavage -sechage-repassage- rangement).
    juste le plaisir de "se coiffer "apres une bonne douche au shampooing anti-poux!
    celui qui a inventé l'être humain n'a pas reussi son coup decidemment!

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  2. Bon réflexion mais nous avons tous une reste d’un pelage, entre autre sous nos bras. La fonction ? À cause d’une augmentation considérable de la surface il nous aide à dissiper la sueur. Les femmes préfère de s’en raser et par conséquence elles ont la fausse impression que ce mesure augmente la production de suer et elles mettent des produis chimiques pour le stopper.

    Peut-on faire la comparaison entre un produit médiocre et son emballage ? Peut-être un peu exagéré mais la mode a ces victimes !

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