La composition des élèves
d'une école a un effet sur l'avenir des élèves de plusieurs manières. C'est que
révèle une thèse de doctorat de l'Université de Göteborg, Suède.
À mesure que la proportion
des élevés dans une classe ont une origine d’une région du monde augmente, la
probabilité à choisir un futur partenaire de cette région augmente aussi. Cependant,
l’effet ne s’arrête pas au choix de partenaire, de la statistique montre que le
même effet aussi existe pour des futurs collègues de travail.
La diversité à l'école est
donc une clef très importante pour réussir à intégrer la deuxième génération
d’immigrants.
La corrélation de choix de partenaires du même pays d'origine est même plus
prononcée pour les immigrés de deuxième génération, c'est-à-dire des élèves nés
en Suède de parents nés à l'étranger. Cet effet est surprenant, car la
deuxième génération devrait être plus intégrée. L’auteur de la thèse n’a pas
trouvé aucune explication dans la statistique.
« Il serait
intéressant à poursuivre les recherches » constat-il.
Si les décideurs pensent qu’un marché de travail ségrégé est mauvais, ils doivent savoir que la
ségrégation déjà commence à l’école et qu’il est possible à le contrarier par
des écoles avec beaucoup de mixités d’origines.
Le communautarisme, chaque group pour soi, est un forme d’organisation de la
vie social que la plus part de nous veut éviter, peut donc s’infiltrer déjà à
l’école.
De Wikipédia :
Le communautarisme est une
conception qui soutient que « l'individu n'existe pas indépendamment de ses
appartenances, qu'elles soient culturelles, ethniques, religieuses ou sociales
». Cette conception implique donc que les individus appartiennent invariablement
à des communautés distinctes (d'où le terme), endogènes et homogènes.