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jeudi 31 octobre 2019

Une IA qui plus ressemble le cerveau pour économiser de l'énergie


L'un des plus grands triomphes d'IA au cours des dernières années a été quand l'ordinateur Alpha Go de Google, en 2011 a battu le champion du monde dans l'un des jeux les plus complexes au monde, l'ancien jeu oriental Go. Mais, si les deux adversaires avaient utilisé la même quantité d’énergie, l’ordinateur n’aurait pas pu gagner. Alors que le cerveau du champion consommait environ 20 W, Alpha Go nécessitait environ 5 000 W.

Plus les tâches sont complexes, plus il faut d'énergie pour former les systèmes d'IA. Par exemple, des chercheurs de l'Université américaine du Massachusetts ont récemment calculé l'effet sur le climat de divers systèmes d'IA entrainés à comprendre le langage humain. Le résultat montre une émission équivalant de 280 tonnes CO2 par langue, ce qui correspond aux émissions annuelles de 24 français.

Dans une autre étude des chercheurs de l'Université du Michigan ont montré que les ordinateurs et l'électronique nécessaires pour les voitures autonomes augmentent la besoin d’énergie jusqu'à 20%.

La technologie IA est généralement très exigeante en énergie. Pour les entrainer à faire la différence entre de 2 objets banals, par exemple une tasse de café et un pot de chambre, il faut parfois des milliers d’images et plusieurs semaines.

Les chercheurs d’IA se tournent maintenant vers des chercheurs du cerveau avec l’espoir à trouver des nouvelles architectures et méthodes de calcules plus efficaces inspirés par le cerveau humain.

Le cerveau humain a une capacité exceptionnelle à interpréter l'environnement, même avec relativement peu d'informations. Une simple image nous suffit le plus suivant pour identifier un objet ou une personne. En revanche les modèles d'IA utilisent des méthodes statistiques et mathématiques de calcul lourdes pour reconnaître des objets et doivent être formés à l'aide de milliers d'exemples. Malgré cet entrainement ils sont incapables à identifier des nouveaux objets. Une voiture autonome qui a appris à différencier entre un piéton et un cycliste ne comprendra pas automatiquement ce qu'elle voit quand un monocycle arrive.

L'intérêt pour le cerveau s'est considérablement accru chez les géants de l'informatique, qui désormais parmi leurs collaborateurs aussi comptent des spécialistes du cerveau. Des nouveaux types de processeurs spécialement conçu pour l'IA avec le but à imiter le fonctionnement du cerveau, ont été lancés ces dernières années. Ils permettent des « bruit » dans les calculs.

Un gros voleur d'énergie dans les ordinateurs actuels est que les calculs sont faits dans le processeur et que la communication avec les mémoires par conséquence doit être intense. C’est pourquoi un piste est de fournir les mémoires avec un peu de capacité de calcules. Le concept s'appelle «”in-memory-computing» et il est une première étape pour s’approcher la manière dont le cerveau traite et mémorise des informations.

La prochaine étape est à rassembler des millions de ces dispositifs de mémoire sur une puce. IBM a développé un prototype avec 3 millions d'unités de ces mémoires sur un seul puce.

Une équipe de recherche germano-britannique a présenté une variante optique du même type que la puce d’IBM. Au lieu d'utiliser de l'électricité, les informations sont échangés avec de la lumière. Un autre nouveau type d’ordinateur est l’ordinateur quantique, qui repose sur des principes complètement différents des ordinateurs actuels et qui peut résoudre des tâches avec une vitesse énorme. Il existe aussi de la recherche pour développer des ordinateurs chimiques où les calculs sont effectués avec aide de molécules.

mercredi 30 octobre 2019

Une taxe sur l'incinération des déchets pour simuler le recyclage


Afin d'augmenter la proportion de matériaux recyclés le gouvernement suédois veut introduire une taxe sur l'incinération des déchets. Ce taxe sera payée par les usines qui brulent les déchets. Le projet de loi propose une la taxe de 7,5 euro/tonne à partir de le 1er avril 2020, puis elle sera portée à 10 euro/tonne en 2021 et à 12,5 euro/tonne en 2022.

Un des buts est de réduire la rentabilité à bruler les déchets dans les centrales de chauffage urbain. Actuellement ils ne brulent pas seulement des déchets suédois mais aussi des déchets importés d’autre pays. Les importations étaient en 2018 de 1,3 millions de tonnes ou 1/3 de tous les déchets brûlés.

Cette activité est forte payant pour les entreprises qui brulent parce qu’elles sont payés dans les 2 bouts, pour traiter les déchets et pour fournir de la chaleur.

A part de fortifier la caisse publique, le but est à donner une incitation économique aux les activités émergents de recyclages et production de bio-fuels. 

Selon la proposition les déchets dangereux et les sous-produits animaux potentiellement contagieux sont exonérés de la taxe.

mardi 29 octobre 2019

Un robot industriel interdit sur la scène d’un théâtre


Un robot industriel sur la scène du théâtre Östgötland, Suède, a maintenant été interdit par l’inspection de l’environnement de travail.  Le théâtre a fait appel.

Le robot fait partie d’un spectacle cirque « le dernier poisson ». L’inspection a jugé qu’il n'est pas suffisamment sécurisé et que les artistes par conséquence pouvaient s’endommager. Le théâtre doit immédiat arrêter l’usage, en cas d'infraction l’amende est de 25 000 euro.

Ces types de robot est dans l’industrie sécurisé par des cages. Cependant, parce que le robot dans le théâtre n’est pas en mode automatique mais manœuvré par une personne, le théâtre fait valoir qu’on ne peut pas appliquer des normes industrielles.