Récemment nos avons beaucoup entendu parler de vérités
et faits alternatif. Á répandre des choses qui ne sont pas vrais est
naturellement une grosse immoralité. Pourtant, à nettoyer n’est pas chose facile,
car des fausses informations sont partout et même là où elles absolument ne
devraient pas être, c’est-à-dire dans les sciences.
Les plus affectés sont des sciences dites « douces » où
le résultat dépend d’une multitude de paramètres et la « vérité » est
présentée comme une corrélation. Un exemple est les conclusions des nutritionnistes
qui amplement ont changés pendant ma vie.
Une base fondamentale dans la méthodologie scientifique
est que si on répété une étude en utilisant la même méthode et des sources
équivalents, on devrait obtenir le même résultat. Mais, dans un article
de débat, (en suédois), 2 professeurs en économie se demandent aux quelles
résultats on peut faire confiance. Ils réfèrent au fait que des nombreuses
études ne donnent pas les mêmes résultats quand ils sont répliqués.
Le mal n’est pas seulement dans les sciences économiques, les sciences sociales sont aussi atteintes. Le fait a été discuté dans plusieurs disciplines depuis longtemps. Mais la chose est sensible et les échanges entre chercheurs ont été si « discrètes » qu’ils n’ont jamais atteignent des grosses rubriques.
Le mal n’est pas seulement dans les sciences économiques, les sciences sociales sont aussi atteintes. Le fait a été discuté dans plusieurs disciplines depuis longtemps. Mais la chose est sensible et les échanges entre chercheurs ont été si « discrètes » qu’ils n’ont jamais atteignent des grosses rubriques.
Le problème est complexe et il existe plusieurs raisons.
Une est que les limites de ce qui est considéré comme statistiquement
significatif, c'est-à-dire ne pas dû au hasard, dans certaines études ont été trop
généreuses.
Une autre raison est que les études sans résultat, qui évidemment peuvent être scientifiquement importantes, sont difficiles à publier. Des résultats surprenants sont aussi devenus plus faciles à publier dans des revues scientifiques. De la psychologie peut aussi jouer, c’est-à-dire que des chercheurs, consciemment ou inconsciemment, renforcent leurs hypothèses et laissent ce « désire » influencer le résultat.
Selon les auteurs de l’article, la prise de conscience du problème augmente et c'est un premier pas vers la solution. « Mais, bien sûr, nous risquons de mettre en péril la confiance du public dans la recherche, si es problème devient plus connue » écrivent-t-ils.
Une autre raison est que les études sans résultat, qui évidemment peuvent être scientifiquement importantes, sont difficiles à publier. Des résultats surprenants sont aussi devenus plus faciles à publier dans des revues scientifiques. De la psychologie peut aussi jouer, c’est-à-dire que des chercheurs, consciemment ou inconsciemment, renforcent leurs hypothèses et laissent ce « désire » influencer le résultat.
Selon les auteurs de l’article, la prise de conscience du problème augmente et c'est un premier pas vers la solution. « Mais, bien sûr, nous risquons de mettre en péril la confiance du public dans la recherche, si es problème devient plus connue » écrivent-t-ils.
De plus en plus de chercheurs essayent à répliquer
d'études antérieures. Les auteurs de l’article ont répété 18 études
d'économie publiées dans les meilleures revues. Ils ont constaté que seulement
11 d’eux, 61%, pouvaient être répliqués.
Pour obtenir des résultats plus
fiables les auteurs exigent une plus grande signification statistique, des sélections
de donnés plus extensives et plus de réplications.