Des larves traitent les déchets alimentaires et deviennent aliment pour animaux

Sac jaune   – papiers

Sac bun      – métaux

Sac bleu     – journaux

Sac orange – plastique

Sac beige   – déchets alimentaires

Sac rouge   – textiles

En Eskilstuna, Suède, ils « invitent » les citoyens à trier leurs déchets, (si non la charge double). Le système est compliqué et associé avec beaucoup de problèmes. Il faut entre autre bien informer les gens que va où. Les instructions ne manquent pas. Les voici.

Les déchets alimentaires sont depuis quelques années devenu du biogaz mais des expérimentations sont maintenant en cour d’au lieu utiliser des larves d’une mouche américain de la famille Stratiomyidae.   

Ces larves sont très gourmandes. Après seulement 12 jours les déchets ont traversé leurs canaux digestives est devenu un composte aussi nutritifs que du fumier. C’est un avantage important parce que de composter conventionnellement prend habituellement 3 mois. Cependant, le très gros gain est que les larves augmentent leur poids 200 fois et deviennent un excellent aliment pour animaux. Ils sont principalement composés de 30% protéines et 40% de la matière grasse, favorablement comparable avec du soja.

Leurs températures préférées est de 27 à 35 degrés. L’expérimentation se fait  dans 60 boîtes plastiques placées sur des étagères et marqués avec la date initiale. Chacune contient initialement 4 kg de déchets et 20 000 larves. Pendant les 12 jours de croissance les larves sont alimenté avec encore 4 kg de déchets.

Le projet est encore dans une phase expérimentale. Pour le rendre économique il faut tout automatiser, incluant l’élevage des mouches.

Voici la liste de déchets alimentaires que les citoyens d’Eskilstuna doivent se discipliner à trier :

Bonbons, Carapaces de crevettes, Coquilles de moules, Coquille d'œuf, Filtres à café, Gomme à mâcher, Graisse de cuisson, Huile de cuisson, Huile nourriture, Marc de café, Noyau d’avocat, Noix, Ossement, Peau d’orange, Peau de banane, Pomme de terre, Sachet de thé.

Les ascenseurs sont sur le point à quitter le stade bébé

Le fabricant finlandais d’ascenseurs Kone collabore depuis 1 an avec IBM. Ensemble ils ont mené plusieurs projets pilotes en Suède, Finlande et Allemagne. Ils sont maintenant finis et le premier client de la fonction que Kone appelle 24/7 Connected Services a été contracté.

L’idée du système est d’équiper les ascenseurs avec des captures connectés sans fils qui mesurent une panoplie de paramètres de types température, humidité, arrêt irrégulies et vibrations. Puis, ces données sont incessamment traitées sur la plateforme d’intelligence artificielle Watson d’IBM. Des systèmes qui sans fils collectionnent des donnés existent depuis longtemps dans l’industrie. La nouveauté dans ce cas est que Watson a l’aptitude d’apprendre. Avec cette assistance Kone dise que leurs ascenseurs maintenant sont capables à détecter des problèmes avant qu’ils ne se manifestent réellement.

Chez Kone ils font valoir qu’ils fabriquent des ascenseurs qui pour la première fois dans l'histoire ont quitté le « stade de bébé ».

« Il est comparable à un bébé qui crie, ce qui rend difficile pour un médecin de déterminer ce qui ne va pas. Un adulte peut dire « il fait mal ici, et hier c'était comme ça », ce que permet au médecin de plus facilement trouver la cause du problème. Les ascenseurs ont depuis longtemps été sur le stade de bébé où ils ne pouvaient que crier et dire « je ne peux pas bouger ». Nous sommes maintenant arrivés à une nouvelle ère où les ascenseurs peuvent nous dire ce qui ne va pas ».

« Nos ascenseurs sont souvent utilisés dans des environnements industriels où ils rapidement doivent monter et descendre. Un ascenseur qui ne fonctionne pas correctement est dans ces cas un gros problème. Nous devons être confiants que l'ascenseur ne s'arrêtera pas. Ce système est par conséquent parfait pour nous ».

L'expérience a apparemment été très positive pour Kone. Dans les années à venir leur objectif est d'installer ce genre de système sur un million d’ascenseurs.

Cette année les danois cuisaient leurs jambons de noël avec énergie renouvelable

Le noël a été venteux en Danemark et leurs éoliennes ont produit 110% du besoin national. Pourtant, le réveillon de noël est le jour quand le danois utilisent le plus d’énergie électrique. Entre 17 et 18 heures la consommation est 13% supérieure à un jour normal.

Le surplus de ce noël était exporté. Cette carte, qui expose la production électrique d’Europe en temps réelle. Elle montre que a partie de Danemark il existe des connections avec la Norvège, la Suède et l’Allemagne. Quand les éoliennes danois tournent pleinement et exportation n’est pas possible, les danois sont payés pour consommer électricité, ce qui dans le passé est arrivé quelques heures par ans.  

Un important problème avec l’énergie du vent est son caractère capricieux. Quand le vent ne souffle pas, les éoliennes ne produisent rien. C’est pourquoi les parcs d’éoliennes danoises ne couvrent que 50% de la besoin annuelle.

Donné qu’il n’y a pas de hydraulique ni nucléaire dans leur réseau électrique le reste est produit avec énergies fossiles ou importé. Il n’est pas une situation tenable et c’est pourquoi les danois continuent à développer leurs parcs éoliens et les possibilités d’exportation/importation. Maintenant il n’y a plus de place sur la terre. L’expansion se fait dans la mer avec des éoliennes gigantesques de 8 MW.

Comparé avec la France le Danemark a maintenant 5 fois plus d’éoliennes par km² de surface.