Comment calcule-t-on les températures des composants sur une carte électronique ? En tant que ingénieur à la retraite et d’intérêts divers, je ne vais pas toujours vous ennuyer avec des tels sujets. C’est un blog aléatoire.
Politiquement correct, ou PC, est un
termepéjoratif pour décrire une opinion qui flottent sur une maréede débat public, ainsi ne remettant pas en
causelessentiments dominants.
Politiquement incorrect, ou PI, est
une épithète pour ceux qui font le contraire et challengent des
positions politiques populaires.
Emphatiquement correct, ou EC, signifie
en français d’éviter des mots qui peuvent offenser oudénigrer une personne ou un groupe. C’est
ainsi que les femmes du ménage devient techniciens de surfaces. L’expression
n’est pas très fréquente, en effet je n’ai trouvé que 3 références
sur Google.
Pourtant, l’expression correspondant d’EC, en
anglais « empathetic
correctness » est en train de gagner terrain dans la vie politique américain.
Le sens dans ce cas est qu’il serait EC de éviter
d’exposer les élevés aux choses qu’ils peuvent apercevoir comme désagréables
tels que violences, préjudice ou suicides. En bref, censurer les sujets d’apprentissages.
En 1925 un professeur du nom John Thomas
Scopes a été condamné
à une amande de 100$ pour avoir enseigné la théorie de l’évolution. Les
conséquences ont été considérables. Pendant des décennies il n’y a eu rien sur
l’évolution dans des livres scolaires américains. Des générations sont grandies
sans en ne rien savoir.
Lorsque l’évolution est réapparue comme
sujet enseigné, les opposants ont lancé une hypothèse concurrente, le dessein intelligent.
Suivant plusieurs semaines de polémiques dans un tribunal en 2005 il a été décidé
que le dessin intelligent n’est qu’uneautre dénomination
du créationnisme religieuse qui n’a rien à faire dans l’enseignement de
biologie.
Cependant les fondamentalistes ne cessent
pas de combattre un fait scientifique, maintenait par la voie linguistique, emphatiquement
correct.
La première lignede
poste pneumatique a ouvert à Londresen 1853. Puis la technique s’étendue aux villes telles queParis,Vienne et New York.
Elles ne sont plus utilisé mais le plus longe était celle de Paris
avec 467kilomètres de tubes. Ce
système a fonctionné pendant plusde 100 ans,
jusqu'en 1984. Dans le film François Truffaut, Baisers volés de 1968, il y a une scène qui suive une lettre pneumatique.
Le plus durable installation a été en Prague où un
système a été utiliséjusqu'en 2002quand une inondation a mis fin à ces jours.
La technologie de la poste pneumatique est
donc assez vieux et on pourrait pensait qu’elle serait complètement passé dans
l’âge d’internet. Mais, maintenant elle reprend. Des systèmes modernes sontprincipalement utilisés par lesentreprises,
par exemple ceux qui ont besoin d’envoyer des échantillonspour analyse dans un laboratoire. Un fabriquant de pâtes
l’utilise échantillons defarine.
Un autre exemple est le commerce, qui a besoin d’avoir un
minimum d’argent dans leurs caisses pourréduire le risque devol. Le poste
pneumatique est même utilisé dans un ministère et dans ce cas pour avoir des documents
importants signé.
Dans ces cas il s’agit de solutions assez
simples, une communication point-à-point ouunsystème avec peu
de stations.
Les systèmes les plus complexes sont dans les hôpitaux. Lesplus récentes
installations ont une solutionlogistique
très avancées dont les cartouchesenvoyés sont munis d'un transpondeur. Le réseau suive les cartouches individuellement et est à chaque instant
conscient de leurs positions. Donné qu’il existe un dépôt dans chaque carrefour
de lignes, il est aussi possible de temporairement mettre des cartouches à côté
pour donner place à un envoi prioritaire.
Dans l’hôpital de Danderyd, une banlieue de Stockholm, ils
ont installé un système de 5 km. Il sert à envoyer des échantillons
de sang aux laboratoires d’analyse, du sang aux salles d'opérations et médicaments.
Avant il fallait beaucoup employés pour cheminer ces transports
qui suivant impliquait des longues distances et congestionnait les ascenseurs. Le nouveau système libère environ 50 employés aux
autres taches.
Un autre avantage estque les patients reçoivent les résultatsde
testplus rapidement. En plus, les
personnels n’ont plus besoin de quitter leurs postes pendant
la nuit lorsquela présence est limitée.
Les cartouchespeuventavoir des priorités différentes. Du sangà un patient sous opération est par exemple expédié plus
vite qu’un test de laboratoire. Pour des
produitssensibles, la vitessepeut être réduite.
Un serveur surveille le trafic dans chaque
carrefour. La position et la destination de chaque cartouche est montré surun écran. S’il y a un bouchon le chemin est
marqué en rouge. Dans ce cas une voie alternative est proposée. Les cartouches
videssontautomatiquement
envoyées auxstationsqui ont
besoin deremplissage.
Le réseau comprend autour de 100 terminales où les employés s’identifient avec leursbadges électroniques.
Uniquement ceux qui ontlesautorisations appropriéespeuvent l’accéder.
Pourcertains produits, comme par exemple des produits pharmaceutiquesou de sang, il faut une autorisationspécifique.
De tous les cartouches en circulation un peu près85% finissent dans le laboratoire dechimie
clinique. Sur place les personnels ont l'aided'un robot qui ouvre les cartouches et les
trie en deuxvoies
de transport, une pour testes prioritaires et une pour les
autres.
Un carrefour consiste typiquement d’une
dizaine detubesqui arrivent duplafond. Quand un cartouche tombe, un bras de robot, qui
grâce à le transpondeur connais la destination, le déplace dans le bon tube de
sortie.
L'histoire du radar commence
en fait enNovembre1932 avec un
discours dramatique par un parlementaire du nom deStanleyBaldwin dans la Chambre descommunes britannique. « Il
n'y a pas de moyen de se protégercontre
les attaques duciel » déclare-t-il. « Les bombardiers
peuvent toujours passer notre défense ».
C’était la conclusion décevante d’un comité d’étude qui avait
constaté que la défensede l'air britannique étaitplus ou moins inutilecontre des grandes armadas de bombardier. Si ne rien de radicalement serait fait,la Grande-Bretagneperdraitla prochaine guerre.
Le cabinet de guerre britanniqueavaitdix ans auparavantoffert une récompensede 1000 livresà la personne qui pouvait
construireunpistolet
à rayons capable de tuerun
moutonà 100mètresde distance. Personne n’avait malheureusement pas
réclamé ce prix. Il était dans cette situation le pouvoir s’approchait la
première autorité dupays d’ondes
radio, l'ingénieurRobertWatson-Watt. Si quelqu'un
pourraitdévelopperunrayon habile à détruireles avions ennemis,c'était lui.
Robert Watson-Watt
et son assistantArnoldWilkins déclaraient que la chose était impossible mais qu’il avait peut-être une méthode à détecter
des avions approchantes à grand distance. Dans ce cas il
serait possible d'envoyerdesavions pour combattre l’ennemi.
En fait, a ditWatson-Watt, nous avons remarqué des interférences de réceptionlorsque un avion franchilesantennes
d’émetteurs et l’effet doit être un genre de réflexion. Peut-être
que ce phénomènepourrait servir la défense.
Il a donc été demandé à Watson-Watt etWilkins d’en urgence étudier cette
possibilité.
Watson-Watt etWilkinsont fait
leur première expérience le 26 Février1935dans un domaine près deDaventry,sud-est deBirmingham. Un bombardier de type Handley
PageHeyford a survoléun mâtqui a envoyédes
impulsions d’ondes courtes. Avecun récepteur placé dans uneambulanceconverti, Watson-Watt etWilkins ont intercepté des échos del’avion sur un oscilloscope. De plus,
ils pouvaient calculer combien de tempsil a fallupour les rayons à rebondir et ainsidéterminerla distancedel'avion.
C’était le débutd'undéveloppement ultrasecretdece que lesAméricainsplus tard, nommeront Radar, Radio DetectionAnd Ranging.
Lespremières expériencessont apparus comme un tel succès quele Royal Airforce a décidé de immédiatementconstruire
encore 5stations le long dela
côte estet sudpour protégerla région de Londres, un système appeléChain Home.
Lesstations avaient des mesures importantes
et ils consommaient d'énormesquantités
d'énergie. Les mats pour émettre les rayons et les
récepteurs, construits comme tours en bois, mesuraient
100 mètres. La portée était de 60 à 70kilomètreset l’arrangement pouvait aussi déterminerl'altituded'un avion en 200 mètres près.
Techniquementle
système anglaisn'était vraiment pas plus remarquable queceux dont ils
expérimentaientdans d'autres pays. L’important différance
par apport les essais des allemands, français, russes et
américaines étaitque les anglais
reliaient leursstationsà un dispositifqui couvraittoute la côte.
L'une des stationsdansla Chain Home était construite sur le domaine BawdseyManorjuste au nordd'Ipswichsur la côte est. Il est devenu
un centre secretpour le développementderadar. C'est
là, en 1937, qu’a été conçu un radar si petit qu’un
avion pouvait le porter. Le secret de ce réussite
était des d'ondespluscourtes.
A l’éclatement de la guerre ils avaient
aussi produit des magnétrons, générateurs demicro-ondes, et un équipement pour chasse de
nuit.
Lorsque les armadasdebombardiers allemandsattaquaientLondrespendant
le Blitzen 1940 c’était lesavertissements dusystème Chain Home,
quia sauvé la ville. Les anglais ont eu le tempsd'envoyer des chasseurs qui causaient des grandespertes allemandes. Il a coûté trop cher en vie et avions
et les allemandsont abandonné
leur tactique enNovembre1940.
Il est aussi grâce auradarque lessous-marins allemandsdans l'Atlantique finalement ont pu été. Les
sous-marins sur la surfacepourraientêtre détectés de loin par les avions des alliées.
Il a fallu attendrelongtemps
après la guerreavant que les britanniques ont découvert cequi s'est réellement passéàBawdsey. Les
habitantssavaient que c’était quelque chose ultrasecretmais ne pas quoi.
Selon une rumeur la défense serait en train de développé des mystérieux rayons capable d'arrêter
des moteurs de voitures en s’infiltrant dans le système d'allumage. Elle convenait
bien auxautorités, car elle a
tenu les gensloin deBawdsey.
Le poivre du Chili, aussi appelé piment, a
été cultivépour la première foisdansle Mexique centrale il y a environ6500 années. C’est
la conclusion des chercheurs qui par le voie d’une languereconstruite ont localisée l’origine.
Au Moyen Âge, les épices comme le poivre étaient rares car
ils venaient de l’Inde. Elles avaient une telle valeur que les plus rares,
comme le poivre, étaient utilisées comme
monnaie d'échange. De cette période vient les expressions tels que « cher comme
poivre », ou « payer en espèces (épices) ». La richesse d'un noble pouvait aussi
être évaluée selon la quantité de poivre qu'il possédait. C'est ainsi que par
la suite, les riches Allemands ont été surnommés « sacs de poivre ».
Le chili est diffèrent parce que l’origine est Amérique du
sud et parce qu’il est facile à cultiver en Europe. Pendant une époque il a été
nommé « le poivre des pauvres ». Le mot chili est emprunté à la
langue uto-aztèque
nahuatl, qui aussi est l'origine des mots chocolat, tomate et avocat.
L’origine du chili cultivées a été tracée
à moins4500 années avant JC. À
cette époque il y avait un motpourchiliquipartiellement
maintenant a été reconstruit deoto-manguean,
ki. Cette racine apparaisse dans plusieurs langues encore parlés de la même
famille.
Il dura jusqu'à quelque 800ans avant JC
pour le chili d’apparaitre dans une autre familledelangue. Il s'agit de langues misumalpane
qui sont encore parlé en Nicaraguaet Honduras.
Danslalangue aztèque, le nahuatl, le chili a une
histoire plus jeune, seulement 1500
ans.
Les premières cultures de haricots et maïs
ont étélocaliséeàl'ouest du Mexique. Depuis longtemps
il a été assumé que le chili aurait la même origine. Au lieu, en
étudiant les racineslinguistiquesdes spécialistes ont maintenant constaté que la culture au
début probablement était localisée dans un triangle entrePuebla, au sud, Oaxaca au nord etVeracruz au sud-ouest.