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vendredi 28 février 2014

Noms et DNA



Anemone hepatica

« Nomina si nescis, perit cognitio rerum » (la connaissance des choses périt par l'ignorance du nom), est une formule de d'Edward Coke. Il veut simplement dire que de la connaissance scientifique nécessite de nommer les choses.

Quelqu’un qui l’avait compris était Carl von Linné, (linn = tilleul, dont un exemplaire géante poussait sur le ferme où Carl est né). Il a crée tout un système de classifications de plantes et animaux. Vulpes vulpes signifie par exemple le renard rouge et sa systématique est si répandu que même un biologiste chinois le comprendrait.

Le système de Linné est hiérarchique et comprend pour le niveau le plus bas une classification binominale. Le premier nom est la famille et le deuxième l’espèce spécifique. La famille était parfois nommée d’après quelqu’un qu'il admirait, par exemple Celsia, (Celsius). Mais quelques de ces adversaires ont eu le destin moins glorieux de nommer des mauvais herbes. 

Dieu a créé Linné a arrangé.

Celsia Linearis

Cependant, a l’époque il n’avait pas d’autre moyenne de classifier par similitudes physiques. Pour trouver de la bonne famille pour un fleure Linné comptait par exemple les étamines et des pistils. Vers la fin de sa vie il a compris que cette méthode avait des failles importantes.

Linné nous a nommé Homo sapiens mais selon le chercheur américain Boris Vinatzer nous somme 1a0b18c0d1e0f0g0h.

Il est actif à Virginia Tech et a mis au point une nouvelle méthode pour nommer toutes les espèces vivantes comme plantes, champignons, bactéries et animaux.

Les nouveaux noms sont des codes associés à la séquence d'ADN de chaque espèce. La technique d’identification ADN a énormément évolué au cours des dernières années, ce qui très précisément permet de distinguer tous genres d’espèces à un prix très bas. L'objectif est que les chercheurs rapidement et facilement soient capables à voir la relation entre les différentes espèces d'une manière précise et standardisée.
  
Les conventions de nommages proposés par Linné ont plus de 200 ans et ils ne montrent les relations que partiellement. De nommer une espèce retrouvée selon ce système peut aussi prendre un beaucoup de temps car les propriétés physiques de l'organisme doivent d'abord être déterminées.

Avec la nouvelle méthode la nomination et rapide et elle montre simultanément les relations génétiques d'autres espèces.

Une inconvenance est qu'elle nécessite de la matière organique afin de déterminer la séquence d'ADN. Des espèces qui seulement sont connu comme fossiles ne peuvent donc pas être classifié.

L’usage du système est aussi incertain car l'université l’a breveté. Sans permission ou licence un usager risque des poursuites judiciaires.

jeudi 27 février 2014

Pourquoi nous somme



Chez les religieuses il y a des personnes qui sont convaincu avoir la bonne réponse à la question pourquoi nous somme. Dans les cercles scientifiques ils sont plus modestes et se contentent de expliquassions sur de maillons dans la chaîne.

La fusion est le processus où des éléments plus lourds sont formés par union de plus légers. Particulièrement il y a deux noyaux impliqués, ce de hydronium, le proton, qui ajoute 1 masse atomique à l’atome formé, et ce d’alpha, le noyau d'hélium, qui ajoute 4 masses atomiques. Avant 1953 il était connu que la fusion se passe à l'intérieur d’environnements stellaire qui fait que tout les éléments dans le système périodique sont crée à partir de protons et alphas.

Problème : Il n'y a pas d'isotopes stables avec les masses atomiques 5 et 8. Ni l’He5, ni Li5 n’existent et Be8, qu’on pourrait obtenir par fusion de 2 noyaux He4, est tellement instable qu'il se décomposer en 10-16 secondes. C'est trop court pour pouvoir fusionner avec un He4 pour former C12.

Théoriquement cela signifie que des éléments plus lourds que He4 ne peuvent pas être formés. Pourtant, des éléments plus lourds existent.

Le mystère a engagé l’astrophysicien Fred Hoyle. Suit à des calcules élaborés il pensait avoir trouvé une solution. En Janvier 1953 il est venu à l'institut de recherche nucléaire, Kellogg Laboratory, los Angeles, pour présenter un expriment qui pourrait vérifier son hypothèse.

Il propose que le C12 soit formé par une fusion de 3 He4. Mais, pour que la réaction soit possible, il faut que le C12 ait une résonance à 7,68 MeV.

Quelques semaines plus tard il était clair que Hoyle a eu raison. Le C12, et par conséquent aussi tous les éléments plus lourds, peuvent être formés dans un environnement stellaire.

Fred Hoyle est devenu un des plus grands astrophysiciens du monde. « Nous sommes tous composés de poussière d'étoiles » a-t-il expliqué pour la BBC.

Cependant, tout le monde n’était pas aussi friand à ses idées. Il était entre autre un adversaire à l'idée que l'univers a été formé dans une explosion. « Il est ridicule de s’imaginer que le monde se serait né dans un sorte de grand détonation » a-t-il déclaré. Ainsi a-t-il conçu le terme «Big Bang».
 
Au lieu Hoyle défendait ce qu'on appelle la théorie de l'état stationnaire. Que l'univers toujours a existé et que de la matière en permanence est recréé au même rythme que les galaxies s'éloignent. Non plus croyait-il que la vie spontanément est apparue sur ​​la terre. Il était convaincu que les graines de la vie sont venues clandestinement par météorites et comètes.    

Il avait donc des idées considérées comme bizarres. C’est peut-être la raison pourquoi il n’a pas eu le prix Nobel de physique qui en en 1983 a été donne à William Fowler et Subrahmanyan Chandrasekhar pour la découverte de la synthèse d’atomes dans les environnements stellaires. Mais, Hoyle n’a pas était pas sans lot. En 1997 il a reçu le Prix Crafoord en astronomie.

mercredi 26 février 2014

Un alphabet peu connu



L’alphabet suédois comprend les mêmes lettres que l’alphabet français + les 3 voyelles, å, ä et ö. Il est donc possible pour moi d’écrire français sur mon clavier suédois. Cependant, la vitesse souffre car les ç, é, è, ê doivent être composé avec 2 touches.

Sur les îles Féroé, situés dans la mer du nord entre la Norvège et l’Island, ils pratiquent aussi une langue scandinave mais avec la particularité d’avoir très peu changé depuis l’époque de viking. Voici leur alphabet : a, á, b, d, ð, e, f, g, h, i, í, j, k, l, m, n, o, ó, p, r, s, t, u, ú, v, y, ý, æ et ø.

Problème : Il manque les c, q, w, x et z.

Selon une proposition dans leur assemblée législative ceci peut bientôt changer. Le but est de le rendre international. Mais, cette proposition n'est pas estimée par toutes les parties politiques. Si elle passe, leur alphabet, qui actuellement comprend 29 lettres, aura dans l’avenir 34 lettres.

Aujourd’hui les lettres c, q, w, x et z existent dans certains mots importés et dans des noms personnelles. L’effet réelle et que les insulaires doivent labourer avec deux alphabets parallèles.

Les promoteurs de la proposition estiment qu'il est impossible d'ignorer le fait que ces 5 lettres déjà sont utilisées. Le fait qu’elles ne sont pas disponibles dans l'alphabet officiel donne des soucis aux personnes qui portent un nom qui inclut une ou plusieurs de ces lettres. La possibilité de les reformuler en combinant des lettres dans l'alphabet officiel, comme le « œ » français n’existe pas non plus.

Cependant dans le málnevndin, le conseil de la langue, une majorité de membres font valoir que les c, q, w, x et z doivent rester hors de l'alphabet même s’il admit que ces 5 lettres apparaissent souvent dans les textes écrit en Féroïen.

mardi 25 février 2014

La fourrure inutile



La fourrure est une chaleureuse couverture pour des journées froide, utile et presque omniprésente parmi les mammifères. Mais, dans l’évolution nous, les humains, et quelques autres espèces, par exemple les rats de taupe nue, l’ont perdu.

Nous savons que ce développement s’est passé dans un climat tropique. D’être chauve en Afrique n'était évidemment pas si mauvais, mais quand nous nous somme établi dans des zones de climat frais, il y eu de réels inconvenances. L’évolution n'a pas prévoyance. Lorsqu'elle sélectionne les plus adaptés elle n’a aucune idée où le développement future ira.

Pourquoi nous somme sans fourrure n’est pas connu mais il n’y des hypothèses.

Une conjecture est que les premiers humanoïdes vivaient en grands groupes et que la fourrure se remplissait de tiques et poux. Les personnes ayant peu de chevelure étaient donc moins susceptibles d'attraper des maladies transmises par parasites. Le contre-argument est naturellement que d’autres espèces d’Afrique, aussi vivant en groupes, ont gardé leur fourrure.

Une autre hypothèse est que nous avons passé un important période de notre développement dans l’eau. Certaines mammifères qui vivent dans l’eau, notamment les baleines, n’ont pas de fourrure et comme nous ils stockent des réserves d’énergie comme de la grasse sous-cutané. Ce notion est aussi supporté par le fait que les seul fois quand les signes marchent sur deux pieds est quand ils traversent l’eau. L’argument contre cette hypothèse semble être que les fossiles ne la supportent pas.    

Pourtant, nous avons gardé des cheveux sous les bras. Beaucoup de dames qui se rasent ont fait l’expérience qu’elles transpirent plus. C’est une chimère. Les chevaux augmentent la surface d’évaporation qui faut que moins de sueur reste coincée. Pourquoi cette fonction serrait un avantage évolutionnaire est une énigme.

Quand nos ancêtres étaient couverts de fourrure, les muscles dans leur peau se contractaient en cas de colère ou températures basses, qui dressaient les cheveux. Quand un chien est en colère ou est effrayé, c’est les mêmes muscles qui soulèvent le poil. Ces muscles gonflent aussi les plumes des oiseaux et la fourrure des mammifères en cas de temps froid. Bien que nous n’ayons plus de fourrure, ces muscles n’ont pas disparu. Ils se contractaient chaque fois que nous avons peur ou d’autres sentiments forts. La chair de poule n’a plus grand importance mais elle persiste et témoigne de notre passé.

lundi 24 février 2014

Le hoquet



Le célèbre Pape Pie XII est mort en 1958 après de longues périodes de hoquet associés à sa gastrite. Mais, l'américain Charles Osborne, qui hoquetait pendant 60 ans, détient le record mondial de Guinness.

Nous, les autres, souffrons de myoclonies phrénoglottiques de temps en temps. C’est condition assez douloureux qui normalement disparaisse après quelques minutes. Cependant, pour, artistes, politiciens, professeurs et tous les autres qui doivent parler devant un public il est redouté, dont le grand nombre de remèdes populaires et rapides qui circulent :

·        Mâcher et rapidement avaler deux cuillères de sucre en poudre.
·        Avaler trois fois, tout en retenant le souffle.
·        Retenir la respiration immédiatement après le premier hoquet.
·        D’être effrayé par quelque chose.
·        Tenir le nez alors qu’on boit de l'eau.
·        Retenir la respiration en fermant la bouche et pinçant le nez.
·        Boire du vinaigre.
·        Boire avec la bouche en dessous le niveau de la gorge.
·        Manger une cuillère de moutarde  
·        Et cetera

En effet le hoquet a une explication évolutionnaire.

Les premiers poissons capables d’aussi respirer l’air étaient des amphibiens. Ils extraient l'oxygène à l'aide de branchies dans l'eau et des poumons primitifs quand sur la terre. Pour le faire, ils avaient une porte d’entrée vers les poumons, la glotte.  

Submergés, ils laissaient passer l'eau dans leurs branchies tout en fermant la glotte. Nous, leurs descendants, ont hérité des vestiges de cet arrangement, y compris le hoquet. En hoquetant, nous utilisons des muscles anciens pour rapidement fermer la glotte tout en suçant pour essayer à faire passer l’eau dans les branchies, qui n’est plus possible.

De hoqueter ne servent plus à rien mais la fonction persistent, peut-être parce qu’elle dans les plus part des cas, en dehors de frustrations et gênes occasionnelles, est bénin. Une des raisons pourquoi il est si difficile d'arrêter est que l'ensemble du processus est contrôlé par une partie de nos cerveaux qui a évolué bien avant notre conscience. Il est donc impossible d’arrêter le hoquet par pur volonté.

dimanche 23 février 2014

Pomme frite repensé



Le fabricant de fours Eat Good a inventé un nouveau type de four à l’air chaud pour restaurants. Il remplace la friteuse d'huile dans des restaurants rapide. Une entre plein d’autres avantages et que les pommes frites produit contiennent 50% moins de gras.

La technique est basée sur un traitement à vapeur combiné avec de l'air chaude, qui ensable donnent les frites la croustillance voulu

Beaucoup d’essais à remplacer la friteuse avec quelque chose mieux ont selon Eat Good été fait pendant les 30 dernières années. Mais, aucune de ces tentatives ont réussi, soit parce qu’ils ne produisent pas le bon goût, soit parce qu’ils ne peuvent pas le faire rapidement.

La friteuse traditionnelle est le grand méchant dans les restaurants rapides. Elle est ni bon pour le développement durable, ni pour le lieu de travail. De plus, elle est la plus grande consommatrice d’énergie et elle augment le risque d'incendie et blessures.
 
Le four d’Eat Good consomme en moyenne 70% moins d'énergie qu’une friteuse. Ceci n’est pas une bagatelle car si tous les 33 000 restaurants de McDonald utiliseraient ce four, l’épargne énergétique égalerait un réacteur nucléaire.

De plus, le coûteux traitement de l'huile et des lourds investissements dans la ventilation ne sont plus nécessaires.

Ce nouveau four est actuellement utilisé dans plusieurs lieux en Suède et Danemark, dont une poignée de stations d’essences qui auparavant ne pouvait pas vendre des frites.

samedi 22 février 2014

La caresse optimale



Toutes objections sont désormais inutiles car cela a été scientifiquement prouvé. La caresse optimale se fait avec 5 cm/s !

À faire passer la main légèrement et lentement sur la peau avec une main de la même température que la peau du destinataire est la meilleure caresse. C’est qu’a constaté Hélène Backlund Wasling, une chercheuses à l’hôpital Sahlgrenska à Göteborg.

Elle et ses collègues ont étudié les petites fibres nerveuses dans la peau qui réagissent aux touches humaines. 

En insérant de petites aiguilles dans les bras de leurs sujets, ils ont pu « écouter » les signaux nerveux qui traversent la peau lorsqu’une personne est caressée.

Leur dernière découverte est que les fibres nerveuses ne pas seulement réagissent à la vitesse, mais aussi sur la température, de la main caressant. Une caresse par une main avec la même température que la peau du sujet suscite un sentiment de sécurité et bien-être.

« Notre interprétation des résultats est que la peau est spécialement calibrée pour contacts peau-à-peau », dit la chercheuses.

Elle conclue aussi que cette partie du système nerveux joue un rôle important dans la création d'un sens d’union, par exemple entre parents et enfants.

vendredi 21 février 2014

La bataille de l'âge de la Terre

Pour la plupart des civilisations anciennes la question de l'âge de la terre était sans grand intérêt. Ces gens pensaient que la terre toujours avait existé mais qu’elle, comme le jour et l’année, régulièrement se renouvelle. Pour eux, le temps était cyclique. La vie sur la terre était périodiquement détruite, puis ressuscité. Dans leur monde temps ressemblait à un serpent qui se mord la queue.

Cependant, la tradition de juifs et chrétiens, redressait le serpent. Selon leur vu le temps tenait un début et une fin, le début était la création par Dieu et la fin le jour du jugement. La question de l'âge de la terre est devenue une affaire purement religieuse.

Une des premières estimations de l'âge de la terre date du sixième évêque d'Antioche, un homme du nom de Théophile. Après scrupuleusement avoir étudié la généalogie dans l'Ancien Testament, il a, en 169, proclamé que la création a eu lieu 5 698 années plus tôt.

Un demi-millenium plus tard, deux théologiens britanniques ont conclus un peu près le même âge. En 1642 John Lightfoot de Cambridge a déclaré que la création a eu lieu 3 928 avant notre époque. Quelques années plus tard l’èvêque Ussher d'Armagh en Irlande a précisé le calcule à la soirée le 23 Octobre année 4004 av. J.-C.

Isaac Newton s’intéressait aussi à ces calcules, mais il était plus intéressé par l'avenir. Selon un document trouvé dans une bibliothèque à Jérusalem, Newton a prédit la fin du monde à 2060.

Mais est-ce que la terre n’était vraiment pas plus âgée que la bagatelle de 6000 ans ? Depuis les 1700, les géologues avaient trouvé de grandes quantités de fossiles d’animaux étranges dans des couches de roches, qui ne ressemblaient à rien vivantes. Et, selon toutes indications ces roches de calcaire et schiste avaient été formé par des sédiments sous-marins pendant très long temps.

Pourquoi vivre dans l'obscurité si la question peut être répondu avec de la physique ? William Thomson, plus tard nommé Baron Kelvin, se posait cette question au milieu des années 1800.

Kelvin était l'un des physiciens les plus brillants de l’époque. Ce qu'il ne savait pas sur le magnétisme ne valait pas de savoir. En outre, il a aussi mis au point la thermodynamique et créé l'échelle de température sur la base zéro absolu qui est aujourd'hui appelé l'échelle Kelvin. Si quelqu’un pourrait déterminer l’âge de la terre, c'était lui.

Grâce aux mines il était depuis longtemps connu que la température de la terre augment vers le centre. Apparemment, la terre était très chaude à l'intérieur.

Il était donc raisonnable de supposer que la terre est née comme une boule de feu qui ensuite progressivement a refroidi à la température d'aujourd'hui. Donné la température initial et le gradient de la température vers le centre il serrait donc possible à faire un calcule. Le chiffre que Kelvin a conclu était d’environ 100 millions d'années.

La validité de ce chiffre était soutenue par un autre calcule de Kelvin, ce de l’âge du soleil. Il présumait que la gravitation avait comprimé le soleil et selon les lois de la thermodynamique la chaleur développée fixait l'âge du soleil à environs 100 millions d’ans, tout comme la Terre.

Mais, a souligné Kelvin, il n’est que pendant une partie de ces années que le soleil a brillé avec la même intensité qu'aujourd'hui. Et, l'humanité ne sera pas en mesure de compter sur le soleil que encore quelques millions d'années. Cela en condition qu'il n'y avait pas une autre source d'énergie.

Les géologues et les paléontologues protestaient contre les résultats de Kelvin. 100 millions d'années était beaucoup trop peu pour que les couches de sédiments aient eu le temps de développer leurs épaisseurs et les hautes montagnes de se former. Les 100 millions années n’étaient aussi pas suffisantes pour l'évolution de la vie et l'origine des espèces. L'évolution par la sélection naturelle, proposée par Darwin, exigeait beaucoup plus.

Par contre, ce temps trop court, a été accueilli avec satisfaction par les opposants de Darwin. Ils l’ont vu comme une preuve scientifique que Darwin avait tort et que l'humanité certainement n’était pas un descendant des singes.

Kelvin haussait ces épaules et disait que tout cela n’était que des problèmes pour les géologues et les biologistes faisant valoir qu’il avait, seulement avec aide de la physique, détecté la façon dont sont les choses. Si les disciplines immatures et inexactes telles que la géologie et la biologie n’avaient aucune théorie viable pour le développement de la terre, c'était leur problème.

Le biologiste Thomas Huxley, un homme qui aimait des conflits, a rapidement contre-attaqué. Les calculs de Kelvin étaient certes excellentes, mais ne pas ses prémisses.  

On peut comparer les mathématiques avec une usine de la plus haute qualité qui permet de broyer des substances à la finesse requise, a dit Huxley. Mais, ce qu’on obtienne dépend de ce qu’on y met. Même le plus avancé moulin du monde ne peut pas faire de la farine de paille.

Le principe invoqué par Huxley est aujourd’hui connu par la phrase « shit in, shit out ».

Le géologue Charles Lyell, un des plus proches amis de Darwin, avait l’idée que la Terre s'est formée par volcanisme, érosion et sédimentation. Ces forces, disait-il, ont la même vitesse maintenant que autrefois, c’est-à-dire très lents. Il a appelé cette hypothèse uniformisme. Mais, le temps nécessaire pour ce développement manquait. Une solution au problème serait que la terre aurait subi diverses catastrophes telles que les inondations bibliques qui accéléraient les changements. Cette hypothèse est appelé catastrophisme, mais elle a été rejetée par la plupart des géologues.

En 1896 le scientifique français Henri Becquerel a découverte la radioactivité. Des études de Pierre et Marie Curie et plus tard Ernest Rutherford et Frederick Soddy montraient que la désintégration radioactive libérait de la chaleur. Des substances radioactives dans le noyau de la terre pourraient donc significativement prolonger l'âge de la terre. Et, les réactions nucléaires dans le soleil pourraient allonger sa duré de vie avec plusieurs milliards d'années.

Rutherford a aussi découvert que les substances radioactives se désintègrent d’une façon prédictible. Cela signifiait qu’ils pourraient être utilisés pour datations.

Il est dit que Rutherford un jour en 1904 a rencontré un collègue canadien à l'Université McGill à Montréal. Il lui demandait une estimation de l’âge de la terre.

100 millions d'années, a déclaré que son collègue.

Étrange, a répondu Rutherford, parce qui ici dans ma main j'ai un morceau de pechblende que je sais est vieux de 700 millions d'années.

Un livre sur la bataille de l'âge de la Terre est Brilliant Blunders de Mario Livio.  Finalement se sont les géologues qui ont eu raison. Aujourd'hui il est considéré que la terre a été formés il y a environ 4,5 milliards d'années.

Pourtant, tout le monde ne sont pas d’accord. Les créationnistes en États-Unis font valoir que le calcule de l’évêque Usshers est correcte.

Un homme charismatique nommé Kent Hovind de la Floride fait depuis de nombreuses années des conférences dans lesquelles il « par des preuves scientifiques » constate que la terre a été créée par Dieu il y a environ 6000 ans. 

À Pensacola en Floride Kent Hovind a créé un parc d'attractions appelé Dinosaur Adventure Land  avec le but de montrer que les dinosaures et les humains une fois vivaient côte à côte. Depuis 2006, il purge une peine de 10 ans de prison pour parce qu'il obstinément a refusé de payer des impôts, appliqué pour permission de construire et cetera. Il fait valoir que tous ses biens, y compris le parc d'attractions, appartient à Dieu et donc ne sont pas imposables.  

jeudi 20 février 2014

Abattage rituel



Actuellement nous somme frappé par le terrorisme islamique. Mais, les gens ont une tendance d’oublier que le terrorisme dans le passé a eu tant de vêtements, car il n’est pas une idéologie. Par exemple, il n’y a pas longtemps que Die Rote Armee Fraktion semait de la terreur en Allemagne et le Brigate Rosse en Italie.

Il semble que personne ne comprenne pourquoi certaines personnes ont l’idée que des attentâtes ou autres actes de terrorisme soit nécessaire. Mon hypothèse est que nous avons tous une empathie pour autre hui mais que des convictions fortes peuvent l’occulter.

L’abattage rituel, pratiqué chez juifs et musulmans, n’est évidemment pas du terrorisme. Mais, le mécanisme psychologique est du même genre. L’empathie pour l’animal est ombragée par la forte conviction que des anciens textes sont devines et qu’il faut les poursuivre à la lettre, même si le résultat est absurde. Pourquoi se réjouirait Dieu quand les animaux souffrent ? Ces adeptes du décret de Dieu me font peur.

Cependant, dans ce contexte il convient de noter que les religions ne sont pas des structures démocratiques. Par conséquence leurs représentants ne sont pas représentatifs. Il me semble que la grand majorité des croyantes ont un Dieu qui permet des arrangements. De plus, les désaccordes dans les religions sont au moins si important que les désaccordes entre les religions. Ces groupes sont loin de homogènes et un clivage fréquent est modernisme contre traditionalisme.   

Le ministre d’agriculture danois, Dan Jørgensen, a maintenant signé un règlement qui effectivement interdit l'abattage religieux dans le pays. « Les droits des animaux sont plus important que des considérations religieuses » a-t-il déclaré. Le règlement n’exige que tout l'abattage des animaux doive être réalisé avec étourdissement, qui est contre le shechita, l'abattage rituel juif.

Selon la nouvelle réglementation, les abattoirs danois ne peuvent plus demander une exemption. Mais, la mesure aura peu de conséquences pratiques pour les juifs orthodoxes de Danemark qui depuis plus que 10 ans importent leur viande casher.

Les communautés juif et musulmane se sont fermement opposées au décret, faisant valoir qu'il constitue une violation de la liberté religieuse.

Conformément à la législation de l'Union européenne, l'importation de viande casher ou halal ne peut pas être interdite en condition que l’abatage est conforme au règlement en vigueur dans le pays.

Des interdictions effectives de l'abattage de grands animaux sans étourdissement existent en Islande, Pays-Bas, Norvège, Suède et Suisse. Le Parlement néerlandais a récemment, en Août 2011, voté cette loi. La Suisse permet l'abattage rituel juif seulement pour de la volaille.

En Lettonie l'interdiction a été retirée en 2009, afin de permettre l'exportation de produits halals vers la Suède. La Nouvelle-Zélande a mis en place une interdiction de l'abattage rituel juif, mais elle a été retirée en attendant une procédure judiciaire.

Un grand nombre de pays disposent d'une législation sensée à protéger les minorités religieuses, dont la Finlande. En Suisse, l’abattage rituel juif a été interdit dans le cadre d'un référendum, bien que les prêtres catholiques aient incité les citoyens à voter contre.

En mai 2009 le parlement européen a voté pour un amendement qui signifie que les états membres ne peuvent plus avoir des règles qui interdit l’abattage rituel. Donné que l’avis du parlement dans ce cas est purement consultatif, les ministres de l'agriculture ont décidé que chaque état membre peut avoir ces propres règles de protection d’animaux.

mercredi 19 février 2014

Mathématique et beauté



L’identité d'Euler

Des images de l’activité cérébrale montrent qu’un groupe de chiffres et lettres formées comme une équation peut évoquer le même sens de beauté comme des chefs-d'œuvre artistiques.

Dans une étude d’University College, Londres, des mathématiciens ont été invité à regarder des équations « belles » et « laides » alors que les chercheures scannaient leurs cerveaux. En effet, ils ont vu les mêmes centres émotionnels activés comme chez quelqu’un qui ressente de la beauté.  

Le résultat indique que le sens de beauté peut avoir une explication neurobiologique. Pourtant, l’expérience esthétique de ceux qui aiment les œuvres d'Euler ou Pythagore est rarement discuté dans les mêmes contextes que les meilleures créations de Mozart, Shakespeare ou Van Gogh.

L'étude est publiée dans la revue Frontiers in Human Neuroscience et comprend 15 mathématiciens qui avaient 60 équations à évaluer.

L'un des chercheurs, le professeur Semir Zeki, a déclaré : « Un grand nombre de régions du cerveau sont impliquées lors de la visualisation d’une équation. Mais, quand les sujets regardaient une, qu’ils avaient classifié comme belle, elle activait les endroits émotionnelles du cerveau, du même façon que quand une personne regarde un beau tableau ou écoute de la musique agréable ».

Le plus qu’une équation avait été estimé sur une échelle de beauté, le plus d’activité était détectée par l'IRMf.

« La neuroscience ne peut pas expliquer la beauté, mais quand on trouve un activité élevé dans le cortex orbitofrontal la beauté est susceptible d'être impliqué. Cependant, il est probablement possible de trouver de la beauté dans tout ».

Pour un non-mathématicien l'identité d'Euler peut peut-être avoir une valeur calligraphique. Les gens de la profession voient la chose différemment. L'identité d'Euler est la favorite de professeur David Percy.

« C'est un véritable classique et on ne peut pas faire mieux. Il est simple à regarder et pourtant incroyablement profonde. Il comprend les 5 constantes mathématiques les plus importants, le « 0 », (identité additif, rien ne change en cas d’addition), le « 1 » (identité multiplicatif, rien ne change en cas de multiplication), le « e » et le « π », (les deux nombres transcendants les plus courantes) et « i », (nombre imaginaire fondamental).

« Elle comprend également les trois opérations arithmétiques les plus élémentaires, addition, multiplication et exponentiation ».

« Étant donné que le « e », le « π » et le « i » sont incroyablement compliqués et apparemment sans rapport, il est étonnant que ils soient liés dans cette manière concise ».

« Au début on ne réalise pas tous ces implications. C'est une conscience progressive, peut-être comme l’attachement à un morceau de musique. Mais, quand on se rende compte du plein potentiel elle devient ahurissant ».

Dans l’interview professeur David Percy a aussi dit que la beauté est une source de « l'inspiration qui entraîne l'enthousiasme à découvrir des choses ».

mardi 18 février 2014

Le sixième sens



 Il y a tant d’idées populaires qui sont très attirants mais aussi malheureusement peu réalistes. De les discréditer, avec le but de mieux comprendre la vie, est dans certaines cercles considéré comme de la méchanceté. Mon opinion est que la qualité de vie augmente pour chaque illusion tuée. 

Des sciences australien ont maintenant démystifié le mythe que nous avons un «sixième sens» en réalisant ce qu'il prétend être la première étude scientifique prouvant que les gens peuvent sentir des changements si faible qu’ils sont incapable de les identifier visuellement.

Le test, connu comme le paradigme de scintillement, impliquait montrant aux participants une image pendant 1,5 secondes, suivi par un écart de 1 seconde et puis pendant 1,5 secondes suivi par la même image que précédemment, mais avec un léger changement. La première image pourrait par exemple représenter une femme sans lunettes et la deuxième la même femme avec lunettes. Les participants étaient ensuite invités à décrire les différences qu'ils avaient remarquées dans une liste de réponses possibles.

Les résultats montraient que les sujets savaient bien détecter les changements, même s’ils ne pouvaient pas les identifier exactement. Au lieu ils disaient avoir « senti » un changement.

L’incapacité de spécifiquement repérer la différence entre deux images qui sont identiques, sauf un détaille, est connu comme « cécité au changement ». Elle est souvent le résultat d'obstacles dans le champ visuel, mouvements oculaires, changement de lieu ou manque d'attention. Il est cette faculté, à détecter sans être en mesure de bien identifier l’élément modifié, qui souvent mène les gens à faussement croire qu'ils ont un « sixième sens ».

lundi 17 février 2014

La signification



Avec un vocabulaire de plus de 100 000 mots, comme dans le français et beaucoup d’autre langues, on pourrait penser qu’i y aurait toutes possibilités de nuancer l’usage. Apparemment il n’est pas le cas. Beaucoup de mots ont plusieurs significations. La disparité est particulièrement importante entre la langue profane et les langues spécialisées.   


Erreur
Profane : Quelque chose fait involontairement.

Statistiques : L’erreur signifie essentiellement le degré de confiance d’un résultat. Le plus elle est petite le plus haut est la probabilité que la conclusion soit bonne.

Mesures : Un mesure numérique qui inclut toutes les erreurs dans un dispositif de mesure qui dans le pire cas détournent le résultat nominal dans la même sens.

Sel 
Profane : Sel de table.

Chimie : Des produits chimiques qui peuvent prendre une forme cristalline et sont soluble dans l'eau.

Pince  
Profane : Un saisie de pouce et index qui peut faire mal.

Physique : La compression d'un conducteur, (souvent un plasma), par un champ magnétique.

Fluide
Profane : Un liquide.

Physique : Liquide ou gaz.

Horloge
Profane : Un dispositif pour mesurer le temps.

Électronique : Un générateur d'impulsions régulières, suivant utilisé pour synchronisation mais qui aussi pour mesurer le temps.

Vapeur
Profane : Le nuage blanc formé par des minuscules gouttelettes dessus un surface de l’eau qui bouille.

Sciences : N’importe quelle gaz, avec ou sans gouttelettes condensé, formé par la évaporation d’un liquide.

Organique
Profane : Produit élevé ou cultivé sans assistance chimique.

Business : An activité qui se développe sans beaucoup d’effort.

Biologique : Qui provient de tissus vivants.

Chimique : Produits à bas de charbon, le plus suivant assez compliqués.

Chimique
Profane : Quelque chose d'artificiel.

Scientifique : Une substance avec une formule ou une composition donné.

Radiation
Profane : Particules dangereuse en provenance de réactions nucléaires. Aussi des champs électromagnétiques produits par des appareils sans fil. 

Scientifique : Photons et d’autre particules qui dans un bout du spectre sont ionisant et dangereux mais aussi les inoffensives comme la radiation de chaleur. Aussi des champs électromagnétiques.

Chaleur 
Profane : Haut température [C]. 

Scientifique : Énergie thermique [J].

Alcool
Profane : Liquide dans les boissons alcoolisées.

Chimie : Substance organique qui contient un groupement –OH, oxygène+hydrogène.

Théorie
Profane : Une idée.

Scientifique : Une hypothèse confirmée.

Il existe aussi des termes qui déferrent beaucoup entre disciplines.

Plasma
Scientifique : Une substance avec une si haute température que les électrons ne tourne plus autour du nucleus.

Médecine : Un composant liquide dans le sang.

Condensateur 
Électrique : Un appareil permettant d'emmagasiner une charge électrique.

Optique : Un dispositif destiné à faire converger les rayons lumineux émis par une source en un point donné.

Physique : Machine qui sert à condenser un gaz.

Fusion
Business : Une opération juridique consistant à regrouper plusieurs sociétés en une seule.

Physique : Une réaction nucléaire ou deux noyaux créent un plus lourd noyau. Aussi la liaison entre deux matériaux différents.

Nucléaire
Physique : Une réaction dans le noyau d’un atome.

Biologique : Référence à des réactions ou des propriétés du noyau de cellules.